Abidjan - Le troisième sommet de Chefs d’Etat et de gouvernement du Forum de coopération d’Afrique et d’Amérique du Sud (ASA) s’est ouvert vendredi à Malabo (Guinée Equatoriale), en présence de plusieurs dirigeants de ces deux régions, qui ont traduit leur volonté de renforcer leur coopération dans plusieurs domaines socio-économiques.
Les présidents Dilma Roussef du Brésil, Goodluck Ebele Jonathan du Nigéria, ainsi que le vice-président du Vénézuéla, le Premier ministre d’Ethiopie, président en exercice de l’Union africaine (UA) et la présidente de la commission de l’UA, ont tous réaffirmé la nécessité d’approfondir le partenariat entre les deux régions, rapporte un communiqué de la Présidence de la République de Côte d’Ivoire dont l’AIP a reçu copie vendredi.
Il s’agit notamment d’un renforcement de leur coopération dans les domaines de l’agriculture, l’environnement, la sécurité alimentaire, la gestion de l’eau, la gouvernance, la santé, les technologies de l’information et de la communication et des Infrastructures.
Cette rencontre de haut niveau se tient sur le thème : « stratégies et mécanismes pour le renforcement de la coopération sud-sud.»
Le président du pays hôte, Théodoro Obiang Nguema, a pour sa part signifié que cette rencontre devrait « continuer à traduire dans les faits r les liens entre les peuples africains et sud-américains », en vue d’ «engendrer une expansion de nos économies ».
Le Chef d l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, qui a échangé avec son homologue brésilienne, Dilma Roussef, en marge du sommet, a déclaré au terme cette rencontre avoir réitéré à la président de la sixième économie mondiale, sa « volonté de coopération (avec ce pays) mais aussi de mise en place de mesures concrètes, afin que le commerce entre la Côte d’Ivoire et le Brésil puissent s’accélérer de même que les investissements ».
Pour M. Ouattara, le Brésil étant un pays qui a d’énormes potentialités, des investisseurs de grande qualité mais également une politique sociale très hardie ayant permis de réduire de manière considérable le taux de pauvreté et d’améliorer les conditions de vie des populations, il était indiqué pour lui de venir s’imprégner des pratiques en vigueur dans ce pays.
Le sommet prend fin samedi avec la signature, par les participants, d’une déclaration contenant des recommandations.
tm
Les présidents Dilma Roussef du Brésil, Goodluck Ebele Jonathan du Nigéria, ainsi que le vice-président du Vénézuéla, le Premier ministre d’Ethiopie, président en exercice de l’Union africaine (UA) et la présidente de la commission de l’UA, ont tous réaffirmé la nécessité d’approfondir le partenariat entre les deux régions, rapporte un communiqué de la Présidence de la République de Côte d’Ivoire dont l’AIP a reçu copie vendredi.
Il s’agit notamment d’un renforcement de leur coopération dans les domaines de l’agriculture, l’environnement, la sécurité alimentaire, la gestion de l’eau, la gouvernance, la santé, les technologies de l’information et de la communication et des Infrastructures.
Cette rencontre de haut niveau se tient sur le thème : « stratégies et mécanismes pour le renforcement de la coopération sud-sud.»
Le président du pays hôte, Théodoro Obiang Nguema, a pour sa part signifié que cette rencontre devrait « continuer à traduire dans les faits r les liens entre les peuples africains et sud-américains », en vue d’ «engendrer une expansion de nos économies ».
Le Chef d l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, qui a échangé avec son homologue brésilienne, Dilma Roussef, en marge du sommet, a déclaré au terme cette rencontre avoir réitéré à la président de la sixième économie mondiale, sa « volonté de coopération (avec ce pays) mais aussi de mise en place de mesures concrètes, afin que le commerce entre la Côte d’Ivoire et le Brésil puissent s’accélérer de même que les investissements ».
Pour M. Ouattara, le Brésil étant un pays qui a d’énormes potentialités, des investisseurs de grande qualité mais également une politique sociale très hardie ayant permis de réduire de manière considérable le taux de pauvreté et d’améliorer les conditions de vie des populations, il était indiqué pour lui de venir s’imprégner des pratiques en vigueur dans ce pays.
Le sommet prend fin samedi avec la signature, par les participants, d’une déclaration contenant des recommandations.
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