Man, La quatrième étape des consultations nationales sur le genre en Côte d’Ivoire s’est ouverte lundi à l’hôtel les cascades de Man, en présence du secrétaire général 1 de la préfecture, Kokora Patrice, qui représentait le préfet de la région du Tonkpi et du département de Man.
Ces consultations qui regroupent des femmes issues de divers domaines d’activités sont une initiative de la Banque mondiale. L’objectif de ce projet est d’atteindre une plus grande implication des femmes dans la vie économique, sociale et politique de la Côte d’Ivoire.
"La construction d’une nation ne peut se faire sans les membres de la société civile. Si on n’échange pas avec nos sœurs, les femmes, nous ne saurons pas leurs besoins. Elles ont le droit et le devoir de participer à la construction nationale", a expliqué le responsable de la communication de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Taleb Ould Sid’ahmed.
"Je souhaite que les résolutions de l’étape de Man permettent une prise en compte réelle, effective et constatable des besoins de la femme ivoirienne", a indiqué, pour sa part, Kokora Patrice.
Quatre sous-commissions planchent sur différents thèmes en vue de dégager les positions consensuelles des femmes de Man et porter leur contribution dans ce projet national.
La Côte d’Ivoire est le premier pays au monde où se tiennent de telles réunions en vue de permettre aux femmes de réfléchir par elles-mêmes et pour elles-mêmes, a-t-on appris.
(AIP)
Gso/kp
Ces consultations qui regroupent des femmes issues de divers domaines d’activités sont une initiative de la Banque mondiale. L’objectif de ce projet est d’atteindre une plus grande implication des femmes dans la vie économique, sociale et politique de la Côte d’Ivoire.
"La construction d’une nation ne peut se faire sans les membres de la société civile. Si on n’échange pas avec nos sœurs, les femmes, nous ne saurons pas leurs besoins. Elles ont le droit et le devoir de participer à la construction nationale", a expliqué le responsable de la communication de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Taleb Ould Sid’ahmed.
"Je souhaite que les résolutions de l’étape de Man permettent une prise en compte réelle, effective et constatable des besoins de la femme ivoirienne", a indiqué, pour sa part, Kokora Patrice.
Quatre sous-commissions planchent sur différents thèmes en vue de dégager les positions consensuelles des femmes de Man et porter leur contribution dans ce projet national.
La Côte d’Ivoire est le premier pays au monde où se tiennent de telles réunions en vue de permettre aux femmes de réfléchir par elles-mêmes et pour elles-mêmes, a-t-on appris.
(AIP)
Gso/kp
