Divo - L’Agence ivoirienne de marketing social (AIMAS) a organisé lundi un atelier de renforcement des capacités à l’intention des animateurs communautaires de l’ONG UVPAP (Union des villages producteurs en agro-pastoral) dans le cadre de la campagne de promotion de la planification familiale et de prévention du VIH/Sida.
"Nous voulons corriger les insuffisances constatées au cours de l’intervention des animateurs de l’ONG UVPAP sur le terrain avant d’entamer la deuxième phase du projet", a indiqué le responsable de la communication pour le changement de comportement à l’AIMAS, Bella Kouassi Gilbert.
Au cours de cet atelier, l’accent a été mis sur le mécanisme d’action des contraceptifs hormonaux et la référence des femmes vers les services de santé de la reproduction.
"Il faut que les animateurs communautaires soient capables d’expliquer le fonctionnement des contraceptifs hormonaux dans l’organisme, afin de dissiper les rumeurs folles qui circulent sur leur compte et rassurer les femmes", a dit M. Bella.
Il a également souligné que les animateurs terrain de l’ONG UVPAP doivent être également capables de faire le suivi des femmes qui fréquentent les services de santé de la reproduction, afin de pouvoir mesurer les effets des actions menées.
"Est-ce que notre action a contribué à l’augmentation du taux de fréquentation des services de santé de la reproduction ? Nous ne pouvons le savoir que s’il y a un suivi correct des femmes qui sont référées dans les services de santé de la reproduction", a fait savoir le responsable de la communication pour le changement de comportement à l’AIMAS.
"Nous voulons corriger les insuffisances constatées au cours de l’intervention des animateurs de l’ONG UVPAP sur le terrain avant d’entamer la deuxième phase du projet", a indiqué le responsable de la communication pour le changement de comportement à l’AIMAS, Bella Kouassi Gilbert.
Au cours de cet atelier, l’accent a été mis sur le mécanisme d’action des contraceptifs hormonaux et la référence des femmes vers les services de santé de la reproduction.
"Il faut que les animateurs communautaires soient capables d’expliquer le fonctionnement des contraceptifs hormonaux dans l’organisme, afin de dissiper les rumeurs folles qui circulent sur leur compte et rassurer les femmes", a dit M. Bella.
Il a également souligné que les animateurs terrain de l’ONG UVPAP doivent être également capables de faire le suivi des femmes qui fréquentent les services de santé de la reproduction, afin de pouvoir mesurer les effets des actions menées.
"Est-ce que notre action a contribué à l’augmentation du taux de fréquentation des services de santé de la reproduction ? Nous ne pouvons le savoir que s’il y a un suivi correct des femmes qui sont référées dans les services de santé de la reproduction", a fait savoir le responsable de la communication pour le changement de comportement à l’AIMAS.