DURBAN - Le ministre sud-africain du Commerce et de l’Industrie Rob Davies a indiqué mardi que les partenariats mis en place par l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, l’Inde et la Russie (BRICS) contribueraient beaucoup au développement du commerce et à l’industrialisation sur le continent africain.
M. Davies a tenu ces propos lors du forum d’affaires des BRICS organisé par le ministère du Commerce et de l’Industrie à Durban.
La conférence a attiré des représentants des milieux d’affaires venus des cinq pays des BRICS.
"On n’insistera jamais assez sur l’importance des BRICS. Du point de vue sud-africain, nous avons assisté à une forte croissance des relations commerciales et économiques avec les pays BRICS. Le commerce entre l’Afrique du Sud et les autres membres du groupe est passé de 11,6% à 27%. Nous avons actuellement 31 projets mis en oeuvre par 25 entreprises implantées dans les pays BRICS totalisant 12,6 milliards de rands", a souligné M. Davies.
Les bénéfices des partenariats de l’Afrique du Sud avec les pays BRICS sont en passe de mener à une industrialisation et une intégration plus importantes du continent, a-t-il ajouté.
"Le continent africain est reconnu comme le continent ayant la croissance la plus rapide après l’Asie. La croissance économique de l’Afrique repose sur quatre facteurs clés : l’essor des produits miniers sur le continent, le développement des industries de services, dynamisé entre autres par l’adoption des technologies de l’information et de la communication, l’avantage de ne pas subir de crise financière, et le développement des infrastructures", a-t-il expliqué.
M. Davies a indiqué que les dirigeants africains discutaient actuellement de la question de l’industrialisation et de la façon dont elle pourrait amener la prochaine phase de développement économique en Afrique.
"Les autres pays BRICS ont l’avantage d’avoir une forte population, ce qui fournit un vaste marché intérieur pour leurs produits. Comparée à celles des autres pays BRICS, la population sud-africaine est peu nombreuse, mais si on additionne les chiffres sur l’ensemble du continent, on se retrouve avec une masse critique qui peut soutenir la nouvelle vague industrielle en Afrique. C’est pourquoi nous devons réaliser l’intégration africaine afin de créer de vastes blocs commerciaux sur de grandes parties du continent africain", a déclaré M. Davies.
M. Davies a tenu ces propos lors du forum d’affaires des BRICS organisé par le ministère du Commerce et de l’Industrie à Durban.
La conférence a attiré des représentants des milieux d’affaires venus des cinq pays des BRICS.
"On n’insistera jamais assez sur l’importance des BRICS. Du point de vue sud-africain, nous avons assisté à une forte croissance des relations commerciales et économiques avec les pays BRICS. Le commerce entre l’Afrique du Sud et les autres membres du groupe est passé de 11,6% à 27%. Nous avons actuellement 31 projets mis en oeuvre par 25 entreprises implantées dans les pays BRICS totalisant 12,6 milliards de rands", a souligné M. Davies.
Les bénéfices des partenariats de l’Afrique du Sud avec les pays BRICS sont en passe de mener à une industrialisation et une intégration plus importantes du continent, a-t-il ajouté.
"Le continent africain est reconnu comme le continent ayant la croissance la plus rapide après l’Asie. La croissance économique de l’Afrique repose sur quatre facteurs clés : l’essor des produits miniers sur le continent, le développement des industries de services, dynamisé entre autres par l’adoption des technologies de l’information et de la communication, l’avantage de ne pas subir de crise financière, et le développement des infrastructures", a-t-il expliqué.
M. Davies a indiqué que les dirigeants africains discutaient actuellement de la question de l’industrialisation et de la façon dont elle pourrait amener la prochaine phase de développement économique en Afrique.
"Les autres pays BRICS ont l’avantage d’avoir une forte population, ce qui fournit un vaste marché intérieur pour leurs produits. Comparée à celles des autres pays BRICS, la population sud-africaine est peu nombreuse, mais si on additionne les chiffres sur l’ensemble du continent, on se retrouve avec une masse critique qui peut soutenir la nouvelle vague industrielle en Afrique. C’est pourquoi nous devons réaliser l’intégration africaine afin de créer de vastes blocs commerciaux sur de grandes parties du continent africain", a déclaré M. Davies.