L’ONG, ‘‘ Lueur d’espoir pour l’Afrique’’ a rendu hommage aux femmes rurales des sous-préfectures de Gabiadji et de Doba dans le département de San-Pedro, le samedi 23 mars 2013 à Doba.
Les femmes des sous-préfectures de Gabiadji et de Doba, regroupées au sein d’une vingtaine d’associations et leurs époux, ont pris part à la célébration de la journée de la femme, organisée par le député Jean Paul Soro. «Nous sommes conscients que d’ici cinq ans, nous aurons besoin des voix de ces femmes. Si, nous voulons être un bon député et avoir au moins deux mandats, il faut joindre l’acte à la parole. Nous, député sortant, avons un bilan à défendre. Ce que nous allons faire avec les femmes, fera partir de notre bilan. Alors, nous sommes obligés nous-mêmes de suivre particulièrement l’évolution et la mise en place effective de ce que nous engageons comme projets», a fait savoir Jean Paul Soro, Député de San-Pedro, sous-préfectures de Dabo et de Gabiadji. Pour lui, cette cérémonie vise à organiser les femmes en associations afin qu’elles puissent avoir des comptes d’épargne qui leur permettront de participer et bénéficier aux différents projets initiés soit par l’Etat, soit par les organisations non gouvernementales ou par certaines institutions. La présidente de l’ONG ‘‘Lueur d’espoir pour l’Afrique’’, Véronique Bah, voit en cette action du député Jean Paul Soro, le renforcement de la cohésion sociale, la lutte contre la pauvreté et un engagement pour l’autonomie de la femme. Nani Serge, Directeur régional de Moov à San-Pedro a promis, pour la circonstance, que sa structure mettra à la disposition des femmes de ces deux sous-préfectures, des puces flottes afin qu’elles puissent mieux échanger sur l’évolution des projets qui seront entrepris. Cette cérémonie d’hommage à la femme rurale à Doba, s’est déroulée en présence du Sous-préfet Seri Célestin, le représentant du ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Kouamé Kouadio et de la chefferie traditionnelle. Oulato Achille, chef du village de Dabo, s’est dit heureux de ce que les femmes rurales ne soient pas oubliées par les autorités locales. Avant de souhaiter la pérennisation de ces actes de développement communautaires à l’endroit de la femme rurale.
O.Dama, envoyé spécial
Les femmes des sous-préfectures de Gabiadji et de Doba, regroupées au sein d’une vingtaine d’associations et leurs époux, ont pris part à la célébration de la journée de la femme, organisée par le député Jean Paul Soro. «Nous sommes conscients que d’ici cinq ans, nous aurons besoin des voix de ces femmes. Si, nous voulons être un bon député et avoir au moins deux mandats, il faut joindre l’acte à la parole. Nous, député sortant, avons un bilan à défendre. Ce que nous allons faire avec les femmes, fera partir de notre bilan. Alors, nous sommes obligés nous-mêmes de suivre particulièrement l’évolution et la mise en place effective de ce que nous engageons comme projets», a fait savoir Jean Paul Soro, Député de San-Pedro, sous-préfectures de Dabo et de Gabiadji. Pour lui, cette cérémonie vise à organiser les femmes en associations afin qu’elles puissent avoir des comptes d’épargne qui leur permettront de participer et bénéficier aux différents projets initiés soit par l’Etat, soit par les organisations non gouvernementales ou par certaines institutions. La présidente de l’ONG ‘‘Lueur d’espoir pour l’Afrique’’, Véronique Bah, voit en cette action du député Jean Paul Soro, le renforcement de la cohésion sociale, la lutte contre la pauvreté et un engagement pour l’autonomie de la femme. Nani Serge, Directeur régional de Moov à San-Pedro a promis, pour la circonstance, que sa structure mettra à la disposition des femmes de ces deux sous-préfectures, des puces flottes afin qu’elles puissent mieux échanger sur l’évolution des projets qui seront entrepris. Cette cérémonie d’hommage à la femme rurale à Doba, s’est déroulée en présence du Sous-préfet Seri Célestin, le représentant du ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Kouamé Kouadio et de la chefferie traditionnelle. Oulato Achille, chef du village de Dabo, s’est dit heureux de ce que les femmes rurales ne soient pas oubliées par les autorités locales. Avant de souhaiter la pérennisation de ces actes de développement communautaires à l’endroit de la femme rurale.
O.Dama, envoyé spécial