Presque deux ans après la fin de la crise postélectorale, Human Right Watch soutien avoir épinglé le pouvoir d’Alassane Ouattara pour partialité, dans son dernier rapport de 82 pages publié hier jeudi, 4 avril et intitulé: ‘‘Transformer les discours en réalité : l’heure de réclamer des comptes pour les crimes internationaux graves perpétrés en Côte d’Ivoire’’. Dans ce document, l'organisation américaine reconnait au président Ouattara d’avoir régulièrement prévenu, depuis sa prise du pouvoir, qu’il n’y aura plus ‘‘plus d’impunité en Côte d’Ivoire et que tous les responsables de crimes seront poursuivis, quelque soit leur couleur, leur choix politique ou leur grade militaire’’. Mais pour l’organisation internationale des droits de l’Homme, très peu de signes concrets de cette justice impartiale qui a été pourtant promise, sont visibles sous l’ère Ouattara. ‘‘La justice des vainqueurs ne permettra pas la réconciliation, elle ne permettra pas de rassurer les personnes appartenant ou étant sympathiques au clan Gbagbo. Il est temps de tourner cette page sombre de l’histoire de la Côte d’Ivoire et ça ne pourra se faire qu’au prix d’une justice vraiment impartiale’’, fait remarquer Human right watch.
Pourquoi maintenant ?
Comme toujours, ce genre de rapport sur les droits de l’Homme et la justice en Côte d’Ivoire, tombe à un moment bien choisi. C'est-à-dire quand le pays amorce un virage délicat de ses relations avec ses partenaires au développement. Hier, le président Laurent Gbagbo dénonçait ce genre d’attaques ourdis par ces Ong qui accusaient son pouvoir de plusieurs scandales, dont le plus funeste est le dossier ‘‘du travail des enfants mineurs dans les plantations de café et cacao’’, les deux mamelles de l’économie ivoirienne. Le spectre du boycott de ces deux produits de rente a été agité à la face des dirigeants de la refondation. Aujourd’hui, sous Ouattara, ces mêmes organisations ont embouché leurs trompettes pour entonner cette fois, un autre hymne: ‘‘ La justice des vainqueurs de la crise post électorale’’. Toujours le même but recherché. Discréditer le régime en place et refroidir l’ardeur des investisseurs, au moment où ces derniers se bousculent aux portes d’un pays en chantier, où ‘ ‘ l’argent travaille’’ à la réalisation de grandes infrastructures, au renouvellement des outils de production du secteur privé, s’est félicité le Premier ministre Kablan Duncan au cours de sa conférence de presse d’hier à l’immeuble Sciam. Le chef du gouvernement a fait remarquer devant la presse nationale et internationale que la croissance économique bénéficie de la relance de la consommation finale au taux de 13 % en 2012, traduisant un relèvement sensible du revenu moyen par habitant. ‘‘L’année 2013 devrait confirmer le rebond économique de la Côte d’Ivoire avec un taux de croissance prévu à 9 % du PIB et le revenu par tête d’habitant connaîtra une hausse de 8,5 % cette même année’’, s’est satisfait un Duncan volontaire et déterminé à écraser cette énième tentative de noircissement de l’image de la Côte d’Ivoire et de ses dirigeants politiques.
T. Guy (lhebdoivoirien@yahoo.fr)
Pourquoi maintenant ?
Comme toujours, ce genre de rapport sur les droits de l’Homme et la justice en Côte d’Ivoire, tombe à un moment bien choisi. C'est-à-dire quand le pays amorce un virage délicat de ses relations avec ses partenaires au développement. Hier, le président Laurent Gbagbo dénonçait ce genre d’attaques ourdis par ces Ong qui accusaient son pouvoir de plusieurs scandales, dont le plus funeste est le dossier ‘‘du travail des enfants mineurs dans les plantations de café et cacao’’, les deux mamelles de l’économie ivoirienne. Le spectre du boycott de ces deux produits de rente a été agité à la face des dirigeants de la refondation. Aujourd’hui, sous Ouattara, ces mêmes organisations ont embouché leurs trompettes pour entonner cette fois, un autre hymne: ‘‘ La justice des vainqueurs de la crise post électorale’’. Toujours le même but recherché. Discréditer le régime en place et refroidir l’ardeur des investisseurs, au moment où ces derniers se bousculent aux portes d’un pays en chantier, où ‘ ‘ l’argent travaille’’ à la réalisation de grandes infrastructures, au renouvellement des outils de production du secteur privé, s’est félicité le Premier ministre Kablan Duncan au cours de sa conférence de presse d’hier à l’immeuble Sciam. Le chef du gouvernement a fait remarquer devant la presse nationale et internationale que la croissance économique bénéficie de la relance de la consommation finale au taux de 13 % en 2012, traduisant un relèvement sensible du revenu moyen par habitant. ‘‘L’année 2013 devrait confirmer le rebond économique de la Côte d’Ivoire avec un taux de croissance prévu à 9 % du PIB et le revenu par tête d’habitant connaîtra une hausse de 8,5 % cette même année’’, s’est satisfait un Duncan volontaire et déterminé à écraser cette énième tentative de noircissement de l’image de la Côte d’Ivoire et de ses dirigeants politiques.
T. Guy (lhebdoivoirien@yahoo.fr)