Bongouanou - Des ex agents de la société de gardiennage dénommée "Intercor Sécurité", réclament à leur ancien employeur 14 mois de salaire impayé, au cours d’un entretien accordé le 2 avril à l’AIP.
Selon l’un des responsables de ce groupe d’ex-employés d’Intercor Sécurité, Adom François Ehui, "le préjudice subit par chacun d’eux s’élève à la somme de 490.000 Francs en raison de 35.000 Francs par mois". Ces arriérés se sont progressivement constitués à partir de "l’irrégularité des paiements et l’accumulation des impayés", a-t-il relevé.
Ces ex-agents disent avoir été engagés en mars 2009 par cette société de gardiennage et affectés à la surveillance des locaux de la CEI à Bongouanou. Mais, ils n’ont rien reçu de leur employeur comme document administratif attestant de leur engagement au sein de la société.
Les contrats qu’ils ont été emmenés à signer ont été transférés à Abidjan, au motif de les faire signer par le premier responsable de la société. Toutefois, les copies de ce contrat ne sont jamais parvenues, poursuivent-ils.
"Seules les tenues de travail constituent l’unique lien" entre eux et la société Intercor Sécurité, a-t-il ironisé, puisque toutes les communications avec leurs supérieurs ne se faisaient qu’au téléphone. D’ailleurs, les salaires qui étaient payés se faisaient par transfert d’argent.
Maintes démarches ont été menées dans le but de trouver une issue à l’amiable à cette affaire, mais se sont soldées par des échecs, signale-t-il, dénonçant les humiliations dont ils ont fait l’objet lors de l’un de leur déplacement à Abidjan, à cet effet.
Selon l’un des responsables de ce groupe d’ex-employés d’Intercor Sécurité, Adom François Ehui, "le préjudice subit par chacun d’eux s’élève à la somme de 490.000 Francs en raison de 35.000 Francs par mois". Ces arriérés se sont progressivement constitués à partir de "l’irrégularité des paiements et l’accumulation des impayés", a-t-il relevé.
Ces ex-agents disent avoir été engagés en mars 2009 par cette société de gardiennage et affectés à la surveillance des locaux de la CEI à Bongouanou. Mais, ils n’ont rien reçu de leur employeur comme document administratif attestant de leur engagement au sein de la société.
Les contrats qu’ils ont été emmenés à signer ont été transférés à Abidjan, au motif de les faire signer par le premier responsable de la société. Toutefois, les copies de ce contrat ne sont jamais parvenues, poursuivent-ils.
"Seules les tenues de travail constituent l’unique lien" entre eux et la société Intercor Sécurité, a-t-il ironisé, puisque toutes les communications avec leurs supérieurs ne se faisaient qu’au téléphone. D’ailleurs, les salaires qui étaient payés se faisaient par transfert d’argent.
Maintes démarches ont été menées dans le but de trouver une issue à l’amiable à cette affaire, mais se sont soldées par des échecs, signale-t-il, dénonçant les humiliations dont ils ont fait l’objet lors de l’un de leur déplacement à Abidjan, à cet effet.
