Parler de lui, relève du périple et de la vaine prétention. Tant l’homme demeure très peu ouvert et a pris soin d’envelopper sa vie de beaucoup de mystères. Comme s’il se savait prédestiné à la fonction qu’il occupe aujourd’hui. En effet, le travail de chargé du protocole d’une personnalité est conféré à priori à des hommes discrets, efficaces, super intelligents.
Un savant cocktail de qualités que Eric Taba renferme en lui; et bien plus encore. A l’avènement du président Alassane Ouattara au pouvoir d’Etat, beaucoup d’Ivoiriens ont été surpris de voir un jeune homme quasiment méconnu de l’apparatchik national et surtout du Protocolat de la République de Côte d’Ivoire ‘‘guider’’ sur la scène publique, le nouveau chef d’Etat. La légendaire idylle entre Houphouët-Boigny et George Ouégnin restait encore vivace dans les esprits de tous. C’est pourquoi, nombreux étaient ceux qu’s’attendaient à revoir ‘‘George’’ revenir aux affaires, vu sa très forte amitié avec le nouveau président et surtout que ce dernier aurait manifestement besoin d’un homme rompu aux arcanes et habitué aux exigences de cette fonction. Que non ! Ouattara choisit de jouer dans la continuité. Question de confiance et de fidélité. Homme de rigueur, de probité, d’efficacité, le chef de l’Etat décide de démarrer ses nouvelles fonctions avec celui qui pendant des années déjà, joue ce rôle depuis qu’il est président du Rdr. ‘‘Je ne lui reproche aucun défaut, aucune défaillance dans son travail. Je suis même fier qu’un jeune de son âge réussisse à s’imposer dans ce métier aussi difficile’’. Un blanc seing que le président confie régulièrement à des proches qui s’inquiétaient vivement de savoir si du parti politique, Eric Taba pourrait assumer cette fonction au plus haut niveau de l’Etat. Mais c’était sans compter avec la pugnacité, le sérieux, le professionnalisme et la grande détermination de ce dernier. ‘‘Il n’y a pas d’homme providentiel, mais seuls le travail et le sérieux font la différence’’, dit le sage. Car très jeune, Eric Taba assumait déjà pleinement cette tâche aux cotés de l’ancien maire de Cocody, Mel Eg Théodore, surtout durant son premier mandat (1990-1995). A cette époque, beaucoup voyaient dans ses gestes, sa manière de se déplacer, de conduire son patron et l’autorité qu’il dégageait, le futur Georges Ouégnin. Ce dernier même, selon des familiers ne cachait pas sa fierté pour son jeune poulain. ‘‘Il a effectivement beaucoup de moi, mais bien plus. Je sens en lui, une forte volonté de s’imposer. C’est très bon signe’’, aurait noté l’ancien directeur du protocole d’Etat d’Houphouët-Boigny. Cette vision prophétique, Eric Taba va en donner la grosse démonstration lors de l’investiture du président de la République, Alassane Ouattara, le 21 mai 2011 à Yamoussoukro. Baptême du feu devant tous les grands de ce monde. Près d’une vingtaine de chefs d’Etat africains, occidentaux (surtout de la France) et du secrétaire général de l’Onu sont débarquent dans la capitale politique. Eric Taba explose et met en évidence toutes ses qualités naturelles et ses valeurs intrinsèques. Il assure et gère avec maestria tous ses homologues venus des autres Etats. Normal, c’est la Côte d’Ivoire qui reçoit. Et c’est à la direction du Protocole d’Etat ivoirien, le pays hôte de tout organiser. Pour nombre d’observateurs, cette cérémonie restera à graver en lettres d’or dans la mémoire du plus jeune Protocole d’Etat de la République ivoirienne. Sacré Taba !
T. Evariste
Un savant cocktail de qualités que Eric Taba renferme en lui; et bien plus encore. A l’avènement du président Alassane Ouattara au pouvoir d’Etat, beaucoup d’Ivoiriens ont été surpris de voir un jeune homme quasiment méconnu de l’apparatchik national et surtout du Protocolat de la République de Côte d’Ivoire ‘‘guider’’ sur la scène publique, le nouveau chef d’Etat. La légendaire idylle entre Houphouët-Boigny et George Ouégnin restait encore vivace dans les esprits de tous. C’est pourquoi, nombreux étaient ceux qu’s’attendaient à revoir ‘‘George’’ revenir aux affaires, vu sa très forte amitié avec le nouveau président et surtout que ce dernier aurait manifestement besoin d’un homme rompu aux arcanes et habitué aux exigences de cette fonction. Que non ! Ouattara choisit de jouer dans la continuité. Question de confiance et de fidélité. Homme de rigueur, de probité, d’efficacité, le chef de l’Etat décide de démarrer ses nouvelles fonctions avec celui qui pendant des années déjà, joue ce rôle depuis qu’il est président du Rdr. ‘‘Je ne lui reproche aucun défaut, aucune défaillance dans son travail. Je suis même fier qu’un jeune de son âge réussisse à s’imposer dans ce métier aussi difficile’’. Un blanc seing que le président confie régulièrement à des proches qui s’inquiétaient vivement de savoir si du parti politique, Eric Taba pourrait assumer cette fonction au plus haut niveau de l’Etat. Mais c’était sans compter avec la pugnacité, le sérieux, le professionnalisme et la grande détermination de ce dernier. ‘‘Il n’y a pas d’homme providentiel, mais seuls le travail et le sérieux font la différence’’, dit le sage. Car très jeune, Eric Taba assumait déjà pleinement cette tâche aux cotés de l’ancien maire de Cocody, Mel Eg Théodore, surtout durant son premier mandat (1990-1995). A cette époque, beaucoup voyaient dans ses gestes, sa manière de se déplacer, de conduire son patron et l’autorité qu’il dégageait, le futur Georges Ouégnin. Ce dernier même, selon des familiers ne cachait pas sa fierté pour son jeune poulain. ‘‘Il a effectivement beaucoup de moi, mais bien plus. Je sens en lui, une forte volonté de s’imposer. C’est très bon signe’’, aurait noté l’ancien directeur du protocole d’Etat d’Houphouët-Boigny. Cette vision prophétique, Eric Taba va en donner la grosse démonstration lors de l’investiture du président de la République, Alassane Ouattara, le 21 mai 2011 à Yamoussoukro. Baptême du feu devant tous les grands de ce monde. Près d’une vingtaine de chefs d’Etat africains, occidentaux (surtout de la France) et du secrétaire général de l’Onu sont débarquent dans la capitale politique. Eric Taba explose et met en évidence toutes ses qualités naturelles et ses valeurs intrinsèques. Il assure et gère avec maestria tous ses homologues venus des autres Etats. Normal, c’est la Côte d’Ivoire qui reçoit. Et c’est à la direction du Protocole d’Etat ivoirien, le pays hôte de tout organiser. Pour nombre d’observateurs, cette cérémonie restera à graver en lettres d’or dans la mémoire du plus jeune Protocole d’Etat de la République ivoirienne. Sacré Taba !
T. Evariste
