Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara veut être destinataire du récent rapport des experts de l’ONU sur la Côte d’Ivoire pour ‘’l’analyser’’ et ‘’tirer’’ des conclusions et des décisions.
Les Nations Unies viennent de publier un rapport de 300 pages qui accuse les Forces pro-Ouattara de s'êtres armées au Burkina Faso pour combattre l'ancien Chef de l'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
Les experts de l'ONU, chargés de vérifier l'embargo sur les armes et les diamants en Côte d'Ivoire, dénoncent également le ‘'pillage'' des ressources nationales notamment le cacao, par certains ex-Chefs de guerre, aujourd'hui cadres dans l'armée ivoirienne.
‘'J'ai demandé au ministre de la défense et au ministre des affaires étrangères de prendre attache avec l'ONU pour que nous pussions être destinataires de ce rapport pour l'analyser, pour tirer les conclusions et des décisions'', a dit M. Ouattara au cours d'une conférence de presse à l'issue d'une visite de 72 heures dans la région de Tonkpi.
‘'Je signale que c'est un rapport d'experts. Par conséquent, je ne mets pas en doute ce rapport mais notre volonté est de clarifier les choses et de prendre des décisions qui sont nécessaires'', a-t-il ajouté.
Dans cette foulée, il a rappelé que ce fut le cas avec l'ONG internationale de défense des droits de l'homme, Human Rights Watch qui a récemment publié un rapport sur la Côte d'Ivoire sans que les autorités ivoiriennes n'aient d'abord une copie pour faire des commentaires.
‘'Nous avons envoyé à Human Rights Watch, notre position et j'ai demandé que ça soit publiée. Ca sera la même chose avec l'ONU'', a conclu le Président Alassane Ouattara.
Le rapport de l'ONU révèle en outre que des groupes radicaux pro-Gbagbo en exil, sont déterminés à renverser par les armes, l'actuel Président Alassane Ouattara.
Il s'agit notamment du colonel Alphonse Gouanou, Damana Pickass, l'un des représentants du camp Gbagbo au sein de la Commission électorale indépendante (CEI) au moment de la présidentielle d'octobre et de novembre 2010 et Amara Touré le dernier ministre du commerce de Laurent Gbagbo ainsi que le Commandant Jean Noeël Abehi arrêté au Ghana et extradé à Abidjan.
LS/APA
Les Nations Unies viennent de publier un rapport de 300 pages qui accuse les Forces pro-Ouattara de s'êtres armées au Burkina Faso pour combattre l'ancien Chef de l'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
Les experts de l'ONU, chargés de vérifier l'embargo sur les armes et les diamants en Côte d'Ivoire, dénoncent également le ‘'pillage'' des ressources nationales notamment le cacao, par certains ex-Chefs de guerre, aujourd'hui cadres dans l'armée ivoirienne.
‘'J'ai demandé au ministre de la défense et au ministre des affaires étrangères de prendre attache avec l'ONU pour que nous pussions être destinataires de ce rapport pour l'analyser, pour tirer les conclusions et des décisions'', a dit M. Ouattara au cours d'une conférence de presse à l'issue d'une visite de 72 heures dans la région de Tonkpi.
‘'Je signale que c'est un rapport d'experts. Par conséquent, je ne mets pas en doute ce rapport mais notre volonté est de clarifier les choses et de prendre des décisions qui sont nécessaires'', a-t-il ajouté.
Dans cette foulée, il a rappelé que ce fut le cas avec l'ONG internationale de défense des droits de l'homme, Human Rights Watch qui a récemment publié un rapport sur la Côte d'Ivoire sans que les autorités ivoiriennes n'aient d'abord une copie pour faire des commentaires.
‘'Nous avons envoyé à Human Rights Watch, notre position et j'ai demandé que ça soit publiée. Ca sera la même chose avec l'ONU'', a conclu le Président Alassane Ouattara.
Le rapport de l'ONU révèle en outre que des groupes radicaux pro-Gbagbo en exil, sont déterminés à renverser par les armes, l'actuel Président Alassane Ouattara.
Il s'agit notamment du colonel Alphonse Gouanou, Damana Pickass, l'un des représentants du camp Gbagbo au sein de la Commission électorale indépendante (CEI) au moment de la présidentielle d'octobre et de novembre 2010 et Amara Touré le dernier ministre du commerce de Laurent Gbagbo ainsi que le Commandant Jean Noeël Abehi arrêté au Ghana et extradé à Abidjan.
LS/APA