L'Osphena, un viagra pour femmes, est sur le point d'être mis en vente aux États-Unis. Conçu pour les femmes ménopausées, le médicament est censé traiter la dyspareunie, c'est-à-dire les douleurs pendant l'acte sexuel.
Les États-Unis s'apprêtent à commercialiser du Viagra pour les femmes ménopausées, rapporte Slate.fr. L'Osphena est une pilule censée soigner la dyspareunie, autrement dit les douleurs pendant les relations sexuelles. La Food and Drug Administration américaine a approuvé ce médicament début avril.
Shionogi, la compagnie pharmaceutique qui commercialise l'Osphena, affirme que sur les 64 millions d'Américaines atteintes de ménopause, au moins la moitié en a besoin pour retrouver sa libido.
De son côté, Lorena Wissner-Greene, obstétricienne-gynécologue et bioéthicienne, explique que seulement 10% des femmes ménopausées nécessitent véritablement un traitement, et fustige le laboratoire, l'accusant de faire de la propagande avec le dysfonctionnement sexuel féminin et de diffuser de fausses informations.
Selon le site Jezebel, les femmes qui ont testé l'Osphena avant qu'il soit approuvé étaient 14 fois plus disposées à avoir des infections urinaires que les autres.
Les États-Unis s'apprêtent à commercialiser du Viagra pour les femmes ménopausées, rapporte Slate.fr. L'Osphena est une pilule censée soigner la dyspareunie, autrement dit les douleurs pendant les relations sexuelles. La Food and Drug Administration américaine a approuvé ce médicament début avril.
Shionogi, la compagnie pharmaceutique qui commercialise l'Osphena, affirme que sur les 64 millions d'Américaines atteintes de ménopause, au moins la moitié en a besoin pour retrouver sa libido.
De son côté, Lorena Wissner-Greene, obstétricienne-gynécologue et bioéthicienne, explique que seulement 10% des femmes ménopausées nécessitent véritablement un traitement, et fustige le laboratoire, l'accusant de faire de la propagande avec le dysfonctionnement sexuel féminin et de diffuser de fausses informations.
Selon le site Jezebel, les femmes qui ont testé l'Osphena avant qu'il soit approuvé étaient 14 fois plus disposées à avoir des infections urinaires que les autres.