Koné Cheick Oumar a jeté finalement l’éponge dans la lutte pour le contrôle de la présidence du conseil d’administration de l’Africa. L’ancien Pca de l’Africa n’a pas obtenu le quitus des administrateurs pour demeurer à la tête du Conseil. Dimanche, à l’issue d’un conseil qu’il a lui-même convoqué au siège de la Fédération ivoirienne de football, sous la supervision de ladite structure, Koné Cheick Oumar n’a pu convaincre 8 des 11 membres. C’est donc malgré lui qu’il cède les rênes du conseil d’administration à Alexis Vagba, choisi par l’ensemble des administrateurs. Les choses n’ont pas été faciles pour que l’ex-Pca puisse se rendre à l’évidence de la volonté des autres administrateurs de mettre fin à sa présidence. Commencé dimanche aux environs de 16 heures dans les locaux de la Fif, c’est finalement au petit matin du lundi (05h 30 mn) que le conseil a pris fin. Selon nos sources, l’ex-Pca, Koné Cheick Oumar, a tout tenté pour se maintenir et, surtout, pour ne pas aller au vote. Mais les membres du conseil d’administration ont su déjouer tous les obstacles pour aller à l’essentiel. Koné Cheick Oumar, visiblement impuissant face aux textes, a dû choisir de claquer la porte. La Fif, ayant pris acte, les autres membres ont donc continué le conseil avec le vote. Un vote qui a permis de mettre fin au règne de 21 mois de l’ex-Pca (il est arrivé à la tête du club le 06 août 2011) et de confier la présidence à Alexis Vagba jusqu’à l’assemblée générale fixée trente jours après la fin du championnat national.
Le coup de maître de La Fif
La Fif a réussi le grand jeu. Le président Sidy et ses collaborateurs ont usé de beaucoup d’imagination et de sagesse pour ramener les uns et autres à la raison et, surtout, à se faire éclairer par les textes qui régissent le conseil d’administration du club. Sans parti pris, la Fif a réussi à imposer à l’ex-président du conseil d’administration de convoquer la réunion. Première victoire de la Fif. Ensuite, le président de la Fif et son équipe ont tenu à superviser ce conseil, invitant les uns et les autres à appliquer les textes. Ils ont fait preuve d’abnégation et de persévérance pour amener les dirigeants de l’Africa à atteindre ce résultat. Grâce à la Fif, tout s’est déroulé dans la plus grande clarté.
Les membres associés ont veillé toute la nuit
Au moment où l’avenir de leur club se décidait au 3è étage de la Fif, les membres associés n’ont pas voulu rester loin des évènements. Ils ont voulu être les témoins oculaires des décisions qui sortiront de ce conseil où le président Koné Cheick Oumar jouait sa survie et la survie de leur club. Par petits groupes, ils sont arrivés à la Fif et y ont installé leur Qg aux alentours pour suivre tous les faits et gestes jusqu’au petit matin. La plupart ont laissé exploser leur joie en apprenant le départ définitif de Koné Cheick Oumar.
DE BOUAFFO
Le coup de maître de La Fif
La Fif a réussi le grand jeu. Le président Sidy et ses collaborateurs ont usé de beaucoup d’imagination et de sagesse pour ramener les uns et autres à la raison et, surtout, à se faire éclairer par les textes qui régissent le conseil d’administration du club. Sans parti pris, la Fif a réussi à imposer à l’ex-président du conseil d’administration de convoquer la réunion. Première victoire de la Fif. Ensuite, le président de la Fif et son équipe ont tenu à superviser ce conseil, invitant les uns et les autres à appliquer les textes. Ils ont fait preuve d’abnégation et de persévérance pour amener les dirigeants de l’Africa à atteindre ce résultat. Grâce à la Fif, tout s’est déroulé dans la plus grande clarté.
Les membres associés ont veillé toute la nuit
Au moment où l’avenir de leur club se décidait au 3è étage de la Fif, les membres associés n’ont pas voulu rester loin des évènements. Ils ont voulu être les témoins oculaires des décisions qui sortiront de ce conseil où le président Koné Cheick Oumar jouait sa survie et la survie de leur club. Par petits groupes, ils sont arrivés à la Fif et y ont installé leur Qg aux alentours pour suivre tous les faits et gestes jusqu’au petit matin. La plupart ont laissé exploser leur joie en apprenant le départ définitif de Koné Cheick Oumar.
DE BOUAFFO
