YOKOHAMA - La cinquième Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique (TICAD V) a ouvert sa porte samedi à Yokohama, au Japon.
La conférence réunit des leaders politiques du Japon et des pays africains pour parler du développement de l’Afrique.
Sous le thème "Main dans la main pour une Afrique plus dynamique", les discussions s’articuleront autour de trois axes : "Une économie solide et durable", "Une société inclusive et résiliente", et "Paix et stabilité".
Pendant les trois jours de la conférence, des représentants du Japon, des pays africains, de pays donateurs, du secteur privé et de la société civile produiront un plan d’action pour l’Afrique, le Japon et la communauté internationale.
Le Premier ministre japonais Sinzo Abe a déclaré lors de son discours d’ouverture que le Japon allait fournir l’aide d’environ 32 milliards de dollars à l’Afrique au cours des cinq prochaines années, dont une partie sera consacrée à des projets de développement.
Le plan d’aide inclut environ 650 milliards de yens en prêts, pour aider à construire les infrastructures de base et lancer un nouveau programme de formation à destination des jeunes en Afrique, l’initiative ABE (African Business Education Initiative for Youth), qui permettra à un millier d’étudiants africains de partir au Japon pour étudier à l’universités et faire des stages en entreprise.
"Avec l’initiative ABE, au cours des cinq prochaines années, nous allons nous atteler à cultiver des "qualités humaines au fait des affaires et de l’industrie qui conduiront à l’emploi de 30 000 individus", a annoncé Shinzo Abe dans son discours, avant d’évoquer d’autres domaines de coopération : la couverture santé, le développement de l’agriculture, et la paix et la stabilité.
La TICAD V est co-organisée par le gouvernement du Japon, la Commission de l’Union africaine (CUA) , le Bureau du Conseiller spécial pour l’Afrique des Nations Unies (UNOSAA), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Banque mondiale.
La première édition de la TICAD, une conférence internationale organisée tous les cinq ans au Japon, remonte à 1993.
La conférence réunit des leaders politiques du Japon et des pays africains pour parler du développement de l’Afrique.
Sous le thème "Main dans la main pour une Afrique plus dynamique", les discussions s’articuleront autour de trois axes : "Une économie solide et durable", "Une société inclusive et résiliente", et "Paix et stabilité".
Pendant les trois jours de la conférence, des représentants du Japon, des pays africains, de pays donateurs, du secteur privé et de la société civile produiront un plan d’action pour l’Afrique, le Japon et la communauté internationale.
Le Premier ministre japonais Sinzo Abe a déclaré lors de son discours d’ouverture que le Japon allait fournir l’aide d’environ 32 milliards de dollars à l’Afrique au cours des cinq prochaines années, dont une partie sera consacrée à des projets de développement.
Le plan d’aide inclut environ 650 milliards de yens en prêts, pour aider à construire les infrastructures de base et lancer un nouveau programme de formation à destination des jeunes en Afrique, l’initiative ABE (African Business Education Initiative for Youth), qui permettra à un millier d’étudiants africains de partir au Japon pour étudier à l’universités et faire des stages en entreprise.
"Avec l’initiative ABE, au cours des cinq prochaines années, nous allons nous atteler à cultiver des "qualités humaines au fait des affaires et de l’industrie qui conduiront à l’emploi de 30 000 individus", a annoncé Shinzo Abe dans son discours, avant d’évoquer d’autres domaines de coopération : la couverture santé, le développement de l’agriculture, et la paix et la stabilité.
La TICAD V est co-organisée par le gouvernement du Japon, la Commission de l’Union africaine (CUA) , le Bureau du Conseiller spécial pour l’Afrique des Nations Unies (UNOSAA), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Banque mondiale.
La première édition de la TICAD, une conférence internationale organisée tous les cinq ans au Japon, remonte à 1993.