Albert Koenders, Représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire, a exhorté dimanche à Abidjan les autorités ivoiriennes à relever le défi d’une justice impartiale.
Lors d’un entretien avec des médias, M. Koenders a déclaré qu’une justice impartiale était la base de la réconciliation nationale.
"La réforme du secteur judiciaire fait partie des grands challenges à réussir, tout comme la réforme du secteur de la sécurité, la réforme du système pénitentiaire et la lutte contre la corruption", a-t-il noté.
Le chef de la mission onusienne s’est réjoui de l’arrestation du chef de milice Amadé Ouérémi, accusé de violations des droits de l’Homme dans l’Ouest du pays, estimant qu’il s’agit d’un signe positif.
De l’avis d’Albert Koenders, les problèmes tels que les conflits fonciers et la problématique des "com-zones" doivent être résolus.
"Les Ivoiriens ont montré une capacité et une volonté de se réconcilier", a-t-il souligné, assurant les médias de la disponibilité de la mission onusienne dans l’accompagnement du processus de normalisation.
Albert Koenders, qui vient d’être nommé à la tête de la Mission intégrée des Nations-Unies au Mali (Minusma), s’est dit optimiste quant à l’avenir de la Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire tente d’emprunter le chemin de la normalisation après une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3 000 morts et un million de personnes déplacées.
Lors d’un entretien avec des médias, M. Koenders a déclaré qu’une justice impartiale était la base de la réconciliation nationale.
"La réforme du secteur judiciaire fait partie des grands challenges à réussir, tout comme la réforme du secteur de la sécurité, la réforme du système pénitentiaire et la lutte contre la corruption", a-t-il noté.
Le chef de la mission onusienne s’est réjoui de l’arrestation du chef de milice Amadé Ouérémi, accusé de violations des droits de l’Homme dans l’Ouest du pays, estimant qu’il s’agit d’un signe positif.
De l’avis d’Albert Koenders, les problèmes tels que les conflits fonciers et la problématique des "com-zones" doivent être résolus.
"Les Ivoiriens ont montré une capacité et une volonté de se réconcilier", a-t-il souligné, assurant les médias de la disponibilité de la mission onusienne dans l’accompagnement du processus de normalisation.
Albert Koenders, qui vient d’être nommé à la tête de la Mission intégrée des Nations-Unies au Mali (Minusma), s’est dit optimiste quant à l’avenir de la Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire tente d’emprunter le chemin de la normalisation après une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3 000 morts et un million de personnes déplacées.