Toumodi - L’école des aveugles de Toumodi (centre-nord, région du Bélier) connaît des moments difficiles, et souhaite bénéficier du programme présidentiel d’urgence(PPU), pour mettre fin au calvaire des pensionnaires.
" Nous faisons une doléance au Président de la République, car nous souhaitons bénéficier du programme présidentiel d’urgence, afin de construire un centre plus grand, plus adapté aux réalités actuelles", a plaidé, samedi, le directeur de l'école, Zan Bi.
Inaugurée depuis 1999, le CEFIAT, centre d’éducation, de formation et d’insertion des aveugles de Toumodi, est la seule école des non voyants de l’intérieur du pays. Il compte, aujourd’hui, 40 pensionnaires de 6 à 24 ans qui vont de CP1 à la classe de terminale.
"Durant cette année scolaire, nos 40 pensionnaires dormaient deux à deux sur des lits d’une place; au nom de ceux-ci, nous plaidons pour avoir au niveau du gouvernement un budget au lieu d’une subvention, comme par le passé, afin d’assurer un mieux-être à ses élèves, pour la plus part d’origine modeste", a indiqué M. Zan Bi.
"Nous disons, au passage, merci à nos donateurs qui nous permettent de tenir le coup, parmi lesquels figurent en bonne place, la Première dame, Mme Dominique Ouattara, qui nous a fait, il y a quelques années, des dons en nature de plusieurs millions de francs", a renchéri le directeur du CEFIAT.
Le CEFIAT enregistre, aujourd’hui, deux bacheliers qui poursuivent leurs études à l’université et sept élèves, titulaires du Bepc.
(Aip)
gba/amak/nf
" Nous faisons une doléance au Président de la République, car nous souhaitons bénéficier du programme présidentiel d’urgence, afin de construire un centre plus grand, plus adapté aux réalités actuelles", a plaidé, samedi, le directeur de l'école, Zan Bi.
Inaugurée depuis 1999, le CEFIAT, centre d’éducation, de formation et d’insertion des aveugles de Toumodi, est la seule école des non voyants de l’intérieur du pays. Il compte, aujourd’hui, 40 pensionnaires de 6 à 24 ans qui vont de CP1 à la classe de terminale.
"Durant cette année scolaire, nos 40 pensionnaires dormaient deux à deux sur des lits d’une place; au nom de ceux-ci, nous plaidons pour avoir au niveau du gouvernement un budget au lieu d’une subvention, comme par le passé, afin d’assurer un mieux-être à ses élèves, pour la plus part d’origine modeste", a indiqué M. Zan Bi.
"Nous disons, au passage, merci à nos donateurs qui nous permettent de tenir le coup, parmi lesquels figurent en bonne place, la Première dame, Mme Dominique Ouattara, qui nous a fait, il y a quelques années, des dons en nature de plusieurs millions de francs", a renchéri le directeur du CEFIAT.
Le CEFIAT enregistre, aujourd’hui, deux bacheliers qui poursuivent leurs études à l’université et sept élèves, titulaires du Bepc.
(Aip)
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