Une peine de deux ans de prison avec sursis et 30.000 euros d’amende ont été requis à l’encontre de l’ex-footballeur Basile Boli jugé mardi dernier à Nanterre pour abus de confiance dans la gestion d’une association de coopération avec l’Afrique qu’il dirigeait. Le ministère public a par ailleurs réclamé une condamnation de 18 mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende concernant Patrick Givanovitch, l’ex-bras droit de Basile Boli, poursuivi lui aussi pour abus de confiance. La décision a été mise en délibéré au 15 octobre.
Soupçonnés d’avoir détourné 250 000 euros de subventions
L’ancien défenseur central de l’Olympique de Marseille et de l’équipe de France, 46 ans et son coprévenu, 53 ans, sont soupçonnés d’avoir détourné 250.000 euros de fonds provenant d’une subvention entre 2007 et 2008 lorsqu’ils étaient, pour l’un, secrétaire général et, pour l’autre, délégué général de l’association Entreprendre et réussir en Afrique (ERA). Alloué par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii, anciennement Anaem), l’argent devait servir à aider des migrants d’Afrique de l’Ouest à se réinstaller dans leur pays pour y monter des projets économiques. Mais il a été utilisé à d’autres fins que celles fixées par la convention nouée en septembre 2007 entre l’organisme d’Etat et l’association ERA, selon l’accusation.
Source : LEXPRESS.fr
Soupçonnés d’avoir détourné 250 000 euros de subventions
L’ancien défenseur central de l’Olympique de Marseille et de l’équipe de France, 46 ans et son coprévenu, 53 ans, sont soupçonnés d’avoir détourné 250.000 euros de fonds provenant d’une subvention entre 2007 et 2008 lorsqu’ils étaient, pour l’un, secrétaire général et, pour l’autre, délégué général de l’association Entreprendre et réussir en Afrique (ERA). Alloué par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii, anciennement Anaem), l’argent devait servir à aider des migrants d’Afrique de l’Ouest à se réinstaller dans leur pays pour y monter des projets économiques. Mais il a été utilisé à d’autres fins que celles fixées par la convention nouée en septembre 2007 entre l’organisme d’Etat et l’association ERA, selon l’accusation.
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