La Côte d’Ivoire veut conserver le poste de gouverneur de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest, mais fait face à une fronde menée par le Burkina Faso.
En janvier 2014, l’Ivoirien Tiémoko Meyliet Koné (qui a succédé à son compatriote Philippe-Henri Dacoury-Tabley) achèvera son mandat à la tête de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Alors que la Côte d’Ivoire souhaite conserver le poste de gouverneur, certains pays de la sous-région, dont le Burkina Faso, mènent la fronde pour que le principe de rotation, inscrit dans les textes, soit appliqué.
Si à Abidjan, on assure avoir le soutien de la majorité des dirigeants des pays membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), rien n’est gagné. Cette question sera sans doute au centre des discussions de la prochaine conférence des chefs d’État, prévue en septembre.
En janvier 2014, l’Ivoirien Tiémoko Meyliet Koné (qui a succédé à son compatriote Philippe-Henri Dacoury-Tabley) achèvera son mandat à la tête de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Alors que la Côte d’Ivoire souhaite conserver le poste de gouverneur, certains pays de la sous-région, dont le Burkina Faso, mènent la fronde pour que le principe de rotation, inscrit dans les textes, soit appliqué.
Si à Abidjan, on assure avoir le soutien de la majorité des dirigeants des pays membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), rien n’est gagné. Cette question sera sans doute au centre des discussions de la prochaine conférence des chefs d’État, prévue en septembre.