Dans moins d’un an, précisément en février 2014, le Programme d’Action d’Almaty sera présenté lors de son examen décennal complet à la Conférence demandée par l’Assemblée Générale des Nations Unies dans ses résolutions 66/214 et 67/222. Mais déjà, toutes les régions du monde s’y préparent activement.
C’est dans ce cadre que la Commission Economique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA-UN) et la Haute Représentation des Nations Unies pour les pays les moins avancés, les pays en développement et sans littoral et les petits Etats insulaires en développement (UN-OHRLLS) ont organisé une conférence sur la revue africaine de ce Programme du 15 au 19 juillet 2013, au siège de la CEA-UN à Addis-Abeba en vue de l’élaboration du Rapport Régional pour l’Afrique sur l’état de la mise en œuvre dudit programme.
En vue d’apporter l’expertise ivoirienne à ces importantes assises, le Ministre des Transports, Monsieur GAOUSSOU Touré, a dépêché à Addis-Abeba (Ethiopie) le Dr KOUYATE Mohamed D., Secrétaire Général de l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT) qui a fait une communication sur l’expérience ivoirienne marquée essentiellement par la prise de textes instituant des structures à missions ciblées telles que l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT), le Comité National de Facilitation (CNF) l’Unité de Lutte contre la Racket (ULCR), le Centre de Coordination des Opérations (CCDO), l’Unité Spéciale de Lutte contre le Racket en Douane (USCD), le Secrétariat National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités (SNGRC), la réalisation d’infrastructures d’intégration comme les Postes de Contrôle Juxtaposés (PCJ), la mise en œuvre d’actions de terrain en vue de lutter contre les entraves à la fluidité et la détermination des points de contrôle (Circulaire Interministérielle n 1136 du 25 juillet 2011).
L’objectif du Programme d’Action d’Almaty consiste à mettre en œuvre un nouveau cadre mondial en vue de la mise en place de systèmes de transport efficients pour les pays en développement sans littoral et les pays de transit dans le respect des intérêts bien compris des uns et des autres, étant entendu le lien direct entre les transports, les échanges commerciaux et la croissance.
In fine, le Programme a pour but d’assurer la pleine et efficace intégration des pays sans littoral dans l’économie mondiale, au moyen d’actions spécifiques conduites par ces deux catégories de pays et les partenaires au développement. Et ce, dans les cinq (5) domaines majeurs que sont les politiques de transit, le développement et l’entretien des infrastructures, le commerce et la facilitation des échanges, les mesures internationales d’appui, la mise en œuvre et l’évaluation
Service communication OFT
C’est dans ce cadre que la Commission Economique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA-UN) et la Haute Représentation des Nations Unies pour les pays les moins avancés, les pays en développement et sans littoral et les petits Etats insulaires en développement (UN-OHRLLS) ont organisé une conférence sur la revue africaine de ce Programme du 15 au 19 juillet 2013, au siège de la CEA-UN à Addis-Abeba en vue de l’élaboration du Rapport Régional pour l’Afrique sur l’état de la mise en œuvre dudit programme.
En vue d’apporter l’expertise ivoirienne à ces importantes assises, le Ministre des Transports, Monsieur GAOUSSOU Touré, a dépêché à Addis-Abeba (Ethiopie) le Dr KOUYATE Mohamed D., Secrétaire Général de l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT) qui a fait une communication sur l’expérience ivoirienne marquée essentiellement par la prise de textes instituant des structures à missions ciblées telles que l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT), le Comité National de Facilitation (CNF) l’Unité de Lutte contre la Racket (ULCR), le Centre de Coordination des Opérations (CCDO), l’Unité Spéciale de Lutte contre le Racket en Douane (USCD), le Secrétariat National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités (SNGRC), la réalisation d’infrastructures d’intégration comme les Postes de Contrôle Juxtaposés (PCJ), la mise en œuvre d’actions de terrain en vue de lutter contre les entraves à la fluidité et la détermination des points de contrôle (Circulaire Interministérielle n 1136 du 25 juillet 2011).
L’objectif du Programme d’Action d’Almaty consiste à mettre en œuvre un nouveau cadre mondial en vue de la mise en place de systèmes de transport efficients pour les pays en développement sans littoral et les pays de transit dans le respect des intérêts bien compris des uns et des autres, étant entendu le lien direct entre les transports, les échanges commerciaux et la croissance.
In fine, le Programme a pour but d’assurer la pleine et efficace intégration des pays sans littoral dans l’économie mondiale, au moyen d’actions spécifiques conduites par ces deux catégories de pays et les partenaires au développement. Et ce, dans les cinq (5) domaines majeurs que sont les politiques de transit, le développement et l’entretien des infrastructures, le commerce et la facilitation des échanges, les mesures internationales d’appui, la mise en œuvre et l’évaluation
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