Une commerçante, Mme Yohou Mikaelle, a été découpée à la machette mardi, à l’ancien site de Dabéko (Lakota, région du Lôh-Djiboua) par un présumé planteur de manioc.
Une commerçante, Mme Yohou Mikaelle, a été découpée à la machette mardi, à l’ancien site de Dabéko (Lakota, région du Lôh-Djiboua) par un présumé planteur de manioc.
Selon les témoignages, Yohou Mikaelle avait rendez-vous avec un planteur-livreur avec qui elle devait passer sa commande. Arrivé au champ, celui-ci se jette sur elle pour la violer.
Surpris par la farouche opposition de "sa cliente", le malfrat lui arrache son argent et l’assène de violents coups de machettes et disparait dans la nature.
Dame Yohou Mikaelle, le corps en lambeau, presqu’évanouie, gisant dans une mare de sang, a été retrouvée au bord de la route par un chauffeur qui l’a transportée à l’hôpital général de la ville puis à Gagnoa. Son cas, selon sa sœur ainée, Yohou Anne Marie, nécessite environ 200 000 FCFA.
Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) le nombre de cas de violences basées sur le genre est passé de 711 en 2010 à 1.976 en 2011 puis à 2.648 en 2012, sur l’ensemble du territoire national indique-t-on.
Une commerçante, Mme Yohou Mikaelle, a été découpée à la machette mardi, à l’ancien site de Dabéko (Lakota, région du Lôh-Djiboua) par un présumé planteur de manioc.
Selon les témoignages, Yohou Mikaelle avait rendez-vous avec un planteur-livreur avec qui elle devait passer sa commande. Arrivé au champ, celui-ci se jette sur elle pour la violer.
Surpris par la farouche opposition de "sa cliente", le malfrat lui arrache son argent et l’assène de violents coups de machettes et disparait dans la nature.
Dame Yohou Mikaelle, le corps en lambeau, presqu’évanouie, gisant dans une mare de sang, a été retrouvée au bord de la route par un chauffeur qui l’a transportée à l’hôpital général de la ville puis à Gagnoa. Son cas, selon sa sœur ainée, Yohou Anne Marie, nécessite environ 200 000 FCFA.
Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) le nombre de cas de violences basées sur le genre est passé de 711 en 2010 à 1.976 en 2011 puis à 2.648 en 2012, sur l’ensemble du territoire national indique-t-on.