Daloa – Les lampions se sont éteints samedi, sur la deuxième édition du Festival des arts et de la culture en milieu scolaire (FENACMIS) qui s’est tenue du 22 au 27 juillet à Daloa, avec le souhait du directeur de la Vie scolaire, Effimbra Nicolas, de voir cette manifestation se muer en une institution nationale dotée d’un commissariat général pour faciliter sa gestion.
La ministre de l’Education nationale et son collègue de la Culture et de la Francophonie, présents à la cérémonie de clôture, ont semblé approuver la proposition du directeur de la Vie scolaire, en indiquant la possibilité de soumettre la question au gouvernement, de sorte que le chef de l’Etat veuille prendre un décret dans ce sens.
Par ailleurs, les lauréats des différentes disciplines ont été connus et récompensés. Il s’agit, entre autres, de l’EPP Katiola et du Collège moderne d’Adzopé, classés respectivement premiers pour le primaire et le secondaire, au niveau du théâtre.
En ce qui concerne la danse traditionnelle et le chant, ce sont l’EPP Camp Militaire1 et le Collège TSF de Bouaké qui ont été les meilleurs.
En chant-choral, le Collège moderne de Daoukro et une école primaire d’Abidjan ont raflé la mise.
Au concours culinaire, c’est l’EPP Moossou1 de Grand-Bassam et le collège catholique Saint-Joseph de Dimbokro qui ont été proclamés vainqueurs. En peinture, arts et couleurs, le Lycée 4 de Daloa a remporté la palme d’or. En dessin, l’EPP Daoukro a arraché le premier prix à ses concurrents.
Les prix vont de 150.000 FCFA pour les seconds à 300.000 pour les premiers au classement, et ces différentes récompenses reviennent globalement à 4,5 millions de francs CFA, selon le comité d’organisation.
Des membres des commissions locales du comité d’organisation ont déploré une organisation approximative liée surtout au manque de moyens pour financer certaines activités en temps réel. Et c’est à juste titre que le directeur de la Vie scolaire demande une structure formalisée pour une gestion rationnelle des prochaines éditions.
La ministre de l’Education nationale et son collègue de la Culture et de la Francophonie, présents à la cérémonie de clôture, ont semblé approuver la proposition du directeur de la Vie scolaire, en indiquant la possibilité de soumettre la question au gouvernement, de sorte que le chef de l’Etat veuille prendre un décret dans ce sens.
Par ailleurs, les lauréats des différentes disciplines ont été connus et récompensés. Il s’agit, entre autres, de l’EPP Katiola et du Collège moderne d’Adzopé, classés respectivement premiers pour le primaire et le secondaire, au niveau du théâtre.
En ce qui concerne la danse traditionnelle et le chant, ce sont l’EPP Camp Militaire1 et le Collège TSF de Bouaké qui ont été les meilleurs.
En chant-choral, le Collège moderne de Daoukro et une école primaire d’Abidjan ont raflé la mise.
Au concours culinaire, c’est l’EPP Moossou1 de Grand-Bassam et le collège catholique Saint-Joseph de Dimbokro qui ont été proclamés vainqueurs. En peinture, arts et couleurs, le Lycée 4 de Daloa a remporté la palme d’or. En dessin, l’EPP Daoukro a arraché le premier prix à ses concurrents.
Les prix vont de 150.000 FCFA pour les seconds à 300.000 pour les premiers au classement, et ces différentes récompenses reviennent globalement à 4,5 millions de francs CFA, selon le comité d’organisation.
Des membres des commissions locales du comité d’organisation ont déploré une organisation approximative liée surtout au manque de moyens pour financer certaines activités en temps réel. Et c’est à juste titre que le directeur de la Vie scolaire demande une structure formalisée pour une gestion rationnelle des prochaines éditions.
