« Nous n’avons pas encore fait une théologie profonde de la femme dans l’Eglise. On a seulement dit : elle peut faire ceci, elle peut faire cela : elle fait l’enfant de chœur, elle lit une lecture, elle fait la présidente de Caritas, (..) D’accord pour des femmes « actives » dans l'église. Mais non à l'ordination des femmes.
La porte a été fermée par Jean-Paul II » Tels sont les propos tenus par le Pape François se prononçant hier lundi de retour de Rio, sur la question de l'ordination de la femme en tant que prêtresse. Évidemment, les réactions n'ont pas tardé. Certains l'ont traité de misogyne voire de lâche et l'église catholique de sexiste. « C'est du dogme, de l'asservissement de la femme par l'homme » ont affirmé d'autres. On le voit, l'âge d'or de la femme catholique n'est pas pour demain. De toutes les façons, elle devra attendre que les hommes fassent une théologie profonde d'elle, rigorisme religieux oblige.
Sébastien Kouassi
La porte a été fermée par Jean-Paul II » Tels sont les propos tenus par le Pape François se prononçant hier lundi de retour de Rio, sur la question de l'ordination de la femme en tant que prêtresse. Évidemment, les réactions n'ont pas tardé. Certains l'ont traité de misogyne voire de lâche et l'église catholique de sexiste. « C'est du dogme, de l'asservissement de la femme par l'homme » ont affirmé d'autres. On le voit, l'âge d'or de la femme catholique n'est pas pour demain. De toutes les façons, elle devra attendre que les hommes fassent une théologie profonde d'elle, rigorisme religieux oblige.
Sébastien Kouassi