Korhogo, Sur l’initiative de la préfecture de Korhogo et de l’USAID, des leaders communautaires et des responsables d’organisations de la société civile ont bénéficié, de lundi à mercredi à Korhogo, d’un renforcement de capacités sur la gestion des conflits et la médiation sociale.
La formation dispensée par M. Tuho Abissi Jean-Paul, expert en développement social local et président de l’ONG Animation rurale de Korhogo (ARK), a porté sur deux thématiques majeures à savoir, la compréhension des conflits et leur dépassement et résolution.
Il a mis l’accent sur des modules tels que les différents types de conflits, leurs sources, les attitudes dans le conflit, les modalités de règlement, la négociation, la médiation et la médiation sociale, avant de soumettre les participants à des études de cas de conflits fonciers.
M. Tuho leur a également livré les outils utilisés en matière de négociation pour communiquer et comprendre les comportements des parties en conflit, avant de présenter un schéma de négociation.
« C’était pertinent d’avoir cet atelier », a indiqué le formateur qui juge nécessaire le développement de la médiation sociale dans le contexte de la réconciliation ivoirienne, pour faciliter l’intégration des différentes couches sociales.
Tous les participants interrogés se réjouissent de la tenue de cet atelier.
Après un peu plus de 10 années de crise sociopolitique aux lourdes conséquences sociales et économiques, la Côte d’Ivoire a entamé un processus de normalisation dans lequel la société civile et l’administration redéployée dans les zones Centre, nord et ouest (CNO, ex-assiégés) tiennent une place importante.
C’est dans cette optique que depuis mars, la préfecture et le programme Côte d’Ivoire transition initiative (CITI) de l’USAID exécuté par la compagnie américaine AECOM, ont initié une série d’ateliers de renforcement de capacités au profit des autorités administratives, politiques, policières et militaires, des leaders communautaires et des organisations de la société civile.
Le premier atelier qui a porté sur « Les questions d’intérêt commun » avait pour objectif de restaurer le dialogue entre les services publics redéployés et les populations locales et à déterminer un cadre de renforcement de la confiance publique, pour une amélioration des rapports entre les agents de l’Etat et les populations.
Celui qui a précedé la présente formation s’est tenu du 18 au 20 juillet et a porté sur la redevabilité.
(AIP)
nbf/kkp/cmas
La formation dispensée par M. Tuho Abissi Jean-Paul, expert en développement social local et président de l’ONG Animation rurale de Korhogo (ARK), a porté sur deux thématiques majeures à savoir, la compréhension des conflits et leur dépassement et résolution.
Il a mis l’accent sur des modules tels que les différents types de conflits, leurs sources, les attitudes dans le conflit, les modalités de règlement, la négociation, la médiation et la médiation sociale, avant de soumettre les participants à des études de cas de conflits fonciers.
M. Tuho leur a également livré les outils utilisés en matière de négociation pour communiquer et comprendre les comportements des parties en conflit, avant de présenter un schéma de négociation.
« C’était pertinent d’avoir cet atelier », a indiqué le formateur qui juge nécessaire le développement de la médiation sociale dans le contexte de la réconciliation ivoirienne, pour faciliter l’intégration des différentes couches sociales.
Tous les participants interrogés se réjouissent de la tenue de cet atelier.
Après un peu plus de 10 années de crise sociopolitique aux lourdes conséquences sociales et économiques, la Côte d’Ivoire a entamé un processus de normalisation dans lequel la société civile et l’administration redéployée dans les zones Centre, nord et ouest (CNO, ex-assiégés) tiennent une place importante.
C’est dans cette optique que depuis mars, la préfecture et le programme Côte d’Ivoire transition initiative (CITI) de l’USAID exécuté par la compagnie américaine AECOM, ont initié une série d’ateliers de renforcement de capacités au profit des autorités administratives, politiques, policières et militaires, des leaders communautaires et des organisations de la société civile.
Le premier atelier qui a porté sur « Les questions d’intérêt commun » avait pour objectif de restaurer le dialogue entre les services publics redéployés et les populations locales et à déterminer un cadre de renforcement de la confiance publique, pour une amélioration des rapports entre les agents de l’Etat et les populations.
Celui qui a précedé la présente formation s’est tenu du 18 au 20 juillet et a porté sur la redevabilité.
(AIP)
nbf/kkp/cmas