Daloa, les communautés bété, malinké, baoulé et burkinabé vivant dans le village de Digba, situé à 25 km de Daloa, ont été sensibilisés, vendredi, à la réconciliation et à la bonne cohabitation par l’ONG Search for Common Ground (SFCG) ou ’’Terrains d’entente’’, à la suite de conflits interpersonnels ayant affecté les relations entre ces différentes communautés.
La rencontre de sensibilisation s’inscrivait dans le cadre du projet ‘’J’aime mon pays’’ de SFCG, dont l’objectif est de travailler à la cohésion sociale entre les communautés, en vue de contribuer à la réconciliation nationale. Elle a permis, après moult négociations, aux communautés autochtones et allochtones, voire allogènes de Digba d’enterrer la hache de guerre, avec la facilitation du sous-préfet central, Ouassélou Gnékpa.
Au sortir donc d’échanges parfois difficiles, introduits par Mme Stéphanie Tohibo, chef du bureau SFCG de Daloa, les différents protagonistes ont accepté de se pardonner mutuellement par rapport aux offenses des uns envers les autres, afin de continuer à vivre ensemble dans la paix.
Des embrassades publiques, signes d’un nouveau départ dans la consolidation des relations entre les ennemis d’hier, laissent entrevoir, dit-on, le respect des communautés, les unes envers les autres, ainsi que l’acceptation du règlement des conflits basé sur la coopération et le dialogue, conformément à l’approche Common Ground.
La rencontre de sensibilisation s’inscrivait dans le cadre du projet ‘’J’aime mon pays’’ de SFCG, dont l’objectif est de travailler à la cohésion sociale entre les communautés, en vue de contribuer à la réconciliation nationale. Elle a permis, après moult négociations, aux communautés autochtones et allochtones, voire allogènes de Digba d’enterrer la hache de guerre, avec la facilitation du sous-préfet central, Ouassélou Gnékpa.
Au sortir donc d’échanges parfois difficiles, introduits par Mme Stéphanie Tohibo, chef du bureau SFCG de Daloa, les différents protagonistes ont accepté de se pardonner mutuellement par rapport aux offenses des uns envers les autres, afin de continuer à vivre ensemble dans la paix.
Des embrassades publiques, signes d’un nouveau départ dans la consolidation des relations entre les ennemis d’hier, laissent entrevoir, dit-on, le respect des communautés, les unes envers les autres, ainsi que l’acceptation du règlement des conflits basé sur la coopération et le dialogue, conformément à l’approche Common Ground.