Qui est Diby Gaston ?
Merci infiniment de nous accorder un espace sur votre site. Je suis N’Doua Diby Gaston, nouveau président de la Communauté des Ivoiriens du Ghana (CIGHA).
Dites-nous ce que c’est que la CIGHA et comment vous en êtes devenu le président ?
La CIGHA, c’est l’association qui rassemble tous les Ivoiriens au Ghana et, j’en suis devenu président au cours de l’assemblée générale du 23 février 2013 où une élection a été organisée.
Vous venez d’être investi. Dites-nous sous quelle option vous placez votre mandat ?
Ce que nous avons l’intention de faire, dans le cadre de ce mandat de deux ans, nous l’avons appelé « CIGHA nouvelle dimension ». Il s’agit pour nous d’établir la CIGHA un peu plus dans le Ghana donc, dans toutes les villes de l’intérieur. Aussi bien à Accra qu’ailleurs. Pour que les Ivoiriens qui vivent partout soient connus et que chacun puisse faire l’effort de contribuer aux activités de la CIGHA.
Avec la crise post électorale, beaucoup d’ivoiriens se sont retrouvés en exil ou réfugiés au Ghana. Ceux-là sont-ils membres de la CIGHA ?
Nous parlons des Ivoiriens qui vivent au Ghana de manière régulière. Donc, des personnes qui se sont faites identifiées à l’ambassade et qui vivent ici de manière ordinaire.
Vous envisagez néanmoins des actions en leur faveur ?
Oui. Il y a quelques temps, nous avions rendu visite à nos frères réfugiés dans les camps ici à Accra. Nous leur avions donné l’appui social que nous pouvions en termes de vivres et autant que nous le pouvons, nous leur apportons notre assistance.
Concrètement, quelle est l’assistance que vous leur apportez ?
Connaissant leurs besoins en termes de nourriture, dans la mesure du possible, chaque membre de la CIGHA donne ce qu’il a. Savon, riz, etc. C’est ce que nous mettons ensemble et leur envoyons.
D’où la CIGHA tire-t-elle ses moyens ?
Ce sont, comme je l’ai indiqué tout à l’heure, ce que chaque membre à titre personnel peut donner.
Quelles sont vos ambitions ?
Faire en sorte que la CIGHA soit un peu plus présente au Ghana. Rassembler beaucoup plus d’Ivoiriens et faire des activités qui vont fédérer.
Combien de membres compte la CIGHA ?
Nous réclamons aujourd’hui, environ 250 personnes. Et, nous avons l’intention de faire en sorte qu’au terme de notre mandat ce chiffre-là connaisse une augmentation.
Quelle est votre politique sociale en faveur de vos membres ?
Autant que nous le pouvons, dans la vie de chaque membre de la CIGHA, nous intervenons. Il s’agit ici essentiellement d’étudiants, de travailleurs, de personnes qui sont de passage et autant que ces personnes nous sollicitent, nous voyons en notre sein ce que nous pouvons faire pour elles.
A la cérémonie d’investiture, vous avez dit qu’on ne vient pas à la CIGHA pour obtenir un emploi ni pour obtenir un stage. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Nous sommes une association à but non lucratif. Nous sommes inscrits dans l’amélioration, autant que nous le pouvons, de la condition de vie de nos membres. Nous ne sommes pas un cabinet d’emplois. Voilà pourquoi il faut que nous insistions sur ce fait-là pour que tout le monde sache qu’on entre dans cette association pour servir, pour aider à faire grandir l’image de la Côte d’Ivoire à l’extérieur
Quelle est la nature de vos rapports avec la tutelle, notamment l’ambassade de Côte d’Ivoire au Ghana ?
Nous avons d’excellents rapports avec l’ambassade, et vous avez vu que l’ambassade a été présente à notre cérémonie d’investiture.
Dans le cadre de votre mandat, quelles sont les actions que vous entendez mener sur le terrain ?
Ça été décliné dans le programme que nous avions publié à la cérémonie d’investiture. Il s’agit, dans un premier temps de continuer à nous établir partout ici, faire en sorte que les Ivoiriens qui sont au Ghana se mettent ensemble et continuer nos activités d’organisation de faits, donc d’éléments qui puissent attirer les Ivoiriens. Il s’agit notamment pour les étudiants d’activités baptisés la journée carrière, pour les travailleurs, de faire en sorte que ceux-ci puissent se connaitre et jouer leur partition dans le cadre des activités de la CIGHA pour le relèvement de l’image de la Côte d’Ivoire.
Avez-vous un appel à lancer à tous les Ivoiriens vivant ici au Ghana ?
Je demande à tout le monde de se joindre à nous. On peut avoir des différends ça et là mais, c’est la Côte d’Ivoire que nous servons. Nous invitons tout le monde à faire en sorte que notre image soit plus reluisante en s’engageant avec nous pour que nous travaillions pour le bonheur des Ivoiriens ici au Ghana.
Merci infiniment de nous accorder un espace sur votre site. Je suis N’Doua Diby Gaston, nouveau président de la Communauté des Ivoiriens du Ghana (CIGHA).
Dites-nous ce que c’est que la CIGHA et comment vous en êtes devenu le président ?
La CIGHA, c’est l’association qui rassemble tous les Ivoiriens au Ghana et, j’en suis devenu président au cours de l’assemblée générale du 23 février 2013 où une élection a été organisée.
Vous venez d’être investi. Dites-nous sous quelle option vous placez votre mandat ?
Ce que nous avons l’intention de faire, dans le cadre de ce mandat de deux ans, nous l’avons appelé « CIGHA nouvelle dimension ». Il s’agit pour nous d’établir la CIGHA un peu plus dans le Ghana donc, dans toutes les villes de l’intérieur. Aussi bien à Accra qu’ailleurs. Pour que les Ivoiriens qui vivent partout soient connus et que chacun puisse faire l’effort de contribuer aux activités de la CIGHA.
Avec la crise post électorale, beaucoup d’ivoiriens se sont retrouvés en exil ou réfugiés au Ghana. Ceux-là sont-ils membres de la CIGHA ?
Nous parlons des Ivoiriens qui vivent au Ghana de manière régulière. Donc, des personnes qui se sont faites identifiées à l’ambassade et qui vivent ici de manière ordinaire.
Vous envisagez néanmoins des actions en leur faveur ?
Oui. Il y a quelques temps, nous avions rendu visite à nos frères réfugiés dans les camps ici à Accra. Nous leur avions donné l’appui social que nous pouvions en termes de vivres et autant que nous le pouvons, nous leur apportons notre assistance.
Concrètement, quelle est l’assistance que vous leur apportez ?
Connaissant leurs besoins en termes de nourriture, dans la mesure du possible, chaque membre de la CIGHA donne ce qu’il a. Savon, riz, etc. C’est ce que nous mettons ensemble et leur envoyons.
D’où la CIGHA tire-t-elle ses moyens ?
Ce sont, comme je l’ai indiqué tout à l’heure, ce que chaque membre à titre personnel peut donner.
Quelles sont vos ambitions ?
Faire en sorte que la CIGHA soit un peu plus présente au Ghana. Rassembler beaucoup plus d’Ivoiriens et faire des activités qui vont fédérer.
Combien de membres compte la CIGHA ?
Nous réclamons aujourd’hui, environ 250 personnes. Et, nous avons l’intention de faire en sorte qu’au terme de notre mandat ce chiffre-là connaisse une augmentation.
Quelle est votre politique sociale en faveur de vos membres ?
Autant que nous le pouvons, dans la vie de chaque membre de la CIGHA, nous intervenons. Il s’agit ici essentiellement d’étudiants, de travailleurs, de personnes qui sont de passage et autant que ces personnes nous sollicitent, nous voyons en notre sein ce que nous pouvons faire pour elles.
A la cérémonie d’investiture, vous avez dit qu’on ne vient pas à la CIGHA pour obtenir un emploi ni pour obtenir un stage. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Nous sommes une association à but non lucratif. Nous sommes inscrits dans l’amélioration, autant que nous le pouvons, de la condition de vie de nos membres. Nous ne sommes pas un cabinet d’emplois. Voilà pourquoi il faut que nous insistions sur ce fait-là pour que tout le monde sache qu’on entre dans cette association pour servir, pour aider à faire grandir l’image de la Côte d’Ivoire à l’extérieur
Quelle est la nature de vos rapports avec la tutelle, notamment l’ambassade de Côte d’Ivoire au Ghana ?
Nous avons d’excellents rapports avec l’ambassade, et vous avez vu que l’ambassade a été présente à notre cérémonie d’investiture.
Dans le cadre de votre mandat, quelles sont les actions que vous entendez mener sur le terrain ?
Ça été décliné dans le programme que nous avions publié à la cérémonie d’investiture. Il s’agit, dans un premier temps de continuer à nous établir partout ici, faire en sorte que les Ivoiriens qui sont au Ghana se mettent ensemble et continuer nos activités d’organisation de faits, donc d’éléments qui puissent attirer les Ivoiriens. Il s’agit notamment pour les étudiants d’activités baptisés la journée carrière, pour les travailleurs, de faire en sorte que ceux-ci puissent se connaitre et jouer leur partition dans le cadre des activités de la CIGHA pour le relèvement de l’image de la Côte d’Ivoire.
Avez-vous un appel à lancer à tous les Ivoiriens vivant ici au Ghana ?
Je demande à tout le monde de se joindre à nous. On peut avoir des différends ça et là mais, c’est la Côte d’Ivoire que nous servons. Nous invitons tout le monde à faire en sorte que notre image soit plus reluisante en s’engageant avec nous pour que nous travaillions pour le bonheur des Ivoiriens ici au Ghana.