Fermeture de 200 entreprises et plus de 26000 emplois perdus par les travailleurs du secteur. Voici le sombre tableau qu’a peint le syndicat national des producteurs agréés d’eaux en Côte d’Ivoire (Synapeaci), samedi dernier, au cours d’une conférence de presse, à la maison de la presse, au Plateau.
« La mesure du gouvernement sera à la base de la fermeture de 200 entreprises du secteur avec en prime la perte de travail de 6000 employés de ces entreprises. Et 20000 agents intermédiaires qui se retrouveront au chômage », a révélé Gervais Ekoun, président du Synapeaci. Il a dit ne pas comprendre que le gouvernement prenne une telle décision mais continue de délivrer des agréments aux opérateurs pour exercer dans le secteur. Concernant la dégradation de l’environnement par l’usage des sachets plastiques, Gervais Ekoun, a pris l’exemple du Ghana où le pays demeure propre malgré l’utilisation du plastique. Pour lui, c’est parce que les structures chargées du nettoyage des rues font leur travail correctement. «En Côte d’Ivoire, malgré la taxe d’enlèvement des ordures à raison de 50 Fcfa prélevés par facture de la Compagnie ivoirienne d’électricité, il se pose un problème d’assainissement des rues », a-t-il dénoncé. Les prélèvements, a-t-il indiqué, sont estimés à 200 millions Fcfa qui sont remis au Trésor public.
Gomon Edmond
« La mesure du gouvernement sera à la base de la fermeture de 200 entreprises du secteur avec en prime la perte de travail de 6000 employés de ces entreprises. Et 20000 agents intermédiaires qui se retrouveront au chômage », a révélé Gervais Ekoun, président du Synapeaci. Il a dit ne pas comprendre que le gouvernement prenne une telle décision mais continue de délivrer des agréments aux opérateurs pour exercer dans le secteur. Concernant la dégradation de l’environnement par l’usage des sachets plastiques, Gervais Ekoun, a pris l’exemple du Ghana où le pays demeure propre malgré l’utilisation du plastique. Pour lui, c’est parce que les structures chargées du nettoyage des rues font leur travail correctement. «En Côte d’Ivoire, malgré la taxe d’enlèvement des ordures à raison de 50 Fcfa prélevés par facture de la Compagnie ivoirienne d’électricité, il se pose un problème d’assainissement des rues », a-t-il dénoncé. Les prélèvements, a-t-il indiqué, sont estimés à 200 millions Fcfa qui sont remis au Trésor public.
Gomon Edmond