On l’avait cru agonisant, après le coup d’Etat de décembre 1999 et durant la décennie de crise militaro-politique qu’a traversée la Côte d’Ivoire. En dépit, de ces années de galère, le parti sexagénaire reste un poids lourd dans le paysage politique ivoirien. Près de 3000 délégués communaux et départementaux et secrétaires généraux de section ont répondu à l’appel du sphinx de Daoukro.
Coulisses Publié le lundi 19 août 2013 | L’intelligent d’Abidjan