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Sport Publié le vendredi 23 août 2013 | Le Patriote

Apres la Can Maracana 2013/ Dr Coulibaly Pecoury (DTN) : “Le maracana ivoirien était le meilleur à Cotonou”

Après le sacre des Eléphants seniors et le titre de vice-champions d'Afrique remporté par les Eléphants vétérans à Cotonou, le samedi 17 août dernier à Cotonou à l'occasion de la 2ème édition de la CAN Maracana « Bénin 2013 », le Directeur Technique National, Dr Coulibaly Pécoury tire les leçons.
Quel regard portez-vous sur les résultats des deux sélections nationales du Maracana ivoirien après la CAN 2013 ?
Nous avons réussi une bonne campagne. C'est vrai que nous avons perdu notre titre de champion d'Afrique au niveau des Vétérans, mais, la grande satisfaction est venue des seniors. Le fait d'être sacré champion dans cette catégorie réconforte notre position de leader dans cette discipline au plan africain. N'oubliez pas que le trophée phare est celui des seniors. Le résultat est donc globalement positif. Nous avons prouvé que nous sommes les précurseurs du Maracana. Nous n'avions donc pas droit à un autre faux pas après notre déconvenue de Yamoussoukro l'année dernière. Nous étions tout simplement les meilleurs à Cotonou.

Qu'est-ce qui a fait la différence chez les seniors ?
Je crois que nous avons dominé les débats tactiquement, techniquement et physiquement. Nos joueurs ont aussi gagné grâce à leur expérience dans ce domaine. Les Togolais n'ont cependant pas démérité. Ils ont prouvé qu'ils avaient du répondant. Mais, cette fois-ci, ils sont tombés sur des joueurs ivoiriens qui en avaient gros sur le cœur après notre chute inattendue lors de la première édition.

Qu'est-ce qui n'a pas marché chez les Eléphants Vétérans ?
Il faut être clair. Nos Vétérans ne sont pas retrouvés à Cotonou. Ils ont eu une entame de la compétition très difficile. En finale, face à cette même équipe togolaise, ils n'ont pas pu donner le meilleur d'eux-mêmes. Certainement qu'ils n'ont pas pu bien récupérer après la longue distance Abidjan-Cotonou par la route. N'oubliez pas que ce sont des joueurs de plus de 45 ans. Mais, en gros, il faut les féliciter pour avoir joué une deuxième finale consécutive.

Quelles leçons tirez-vous de cette CAN Béninoise ?
Nous retenons que, malgré nos maigres moyens, nous avons largement honoré notre pays. Je voudrais particulièrement tirer le chapeau au Président de la FIMADA, le Caire Bleu Charlemagne. L'Etat ne nous pas aidés, mais il s'est battu à fonds pour que nous ne soyons pas ridicules à Cotonou. Nous avons prouvé notre patriotisme. Et nous continuerons à nous battre afin de porter haut la discipline que nous avons nous-mêmes créée. Malgré les coups bas qui viendront de toutes parts.
Par KL (Coll : FIMADA)

autour du panier
Le fair-play de Koné
Bel exemple de fair-play que celui démontré le pivot ivoirien, Koné Mohamed. Après une altercation avec un joueur sénégalais, il a traversé tout le parquet pour aller lui tendre la main. Un geste fortement apprécié du nombreux public qui n'a pas manqué d'ovationner les deux athlètes.

La bataille des supporteurs
Hier, le palais des sports de Treichville était chaud à bouillir. Avant la grande affiche de cette troisième journée de l'Afrobasket 2013 entre le Sénégal et la Côte d'Ivoire, les supporteurs des deux équipes, venus avec tambours et grelots ont offert un show d'enfer. Naturellement qui a tourné à l'avantage des Ivoiriens.

Des volontaires oisifs
Dans le parc du palais, un groupe de volontaires après avoir bien mangé devise tranquillement. «je ne sais même pas ce que fais. On ne m'a rien confié et depuis le matin je tourne sur moi-même», lance une volontaire quelque peu débitée par son désœuvrement. Quoi de plus normal puisqu'on rencontre un monde fou avec des badges d'accès sans qu'on ne sache véritablement à quoi ils servent véritablement.

La tribune de presse refuse du monde
Comme annoncé, le choc de la deuxième journée de ce groupe A hier a tenu toutes ses promesses. A commencer par la tribune de presse qui a refusé du monde.

Un journaliste se fait voler
C'est le speaker du Palais qui donne l'information. Un journaliste aurait été victime du vol de son sac contenant tous ses documents administratifs. Selon lui, c'est dans la tribune de presse que le filou aurait piqué son sac.
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