Alif Naaba
« La musique est un pan important du développement. Et l'éducation est le pan qui reste primordial. Et nous saluons cela. Quand on connaît l'engagement de chaque artiste pris individuellement, je crois qu'on est parti pour permettre aux enfants d'aller à l'école, de leur donner la chance d'avoir un avenir meilleur. Je suis très heureux d'être là et de retrouver des artistes qui sont très représentatifs de la nouvelle génération en Afrique et chacun porte haut le flambeau de son pays.»
Didier Awadi
« Pour moi, c'est un devoir de participer à ce projet. Beaucoup de gens n'ont pas encore accès à l'éducation. Nous, nous avons eu cette chance et nous sommes aujourd'hui des privilégiés dans la société. Le minimum qu'on peut faire, c'est de redonner un peu de ce que la nature nous a donnés. La plupart des gens qui n'écoutent n'ont pas encore accès à l'éducation. Malheureusement, c'est encore un privilège, un luxe. Donc, si on peut faire une chanson pour aider à démocratiser l'éducation, on a le devoir de le faire »
J. Martins
« A'salfo est un bon ami. Donc, quand il m'a appelé pour participer à ce projet lié à l'éducation pour l'Unesco, ça a été un immense plaisir de venir. J'ai moi-même une fondation qui aide à sauver l'avenir des enfants africains en difficulté. Je pense que c'est sensiblement le même objectif que ce projet. Et toute initiative qui a pour but d'apporter l'éducation aux enfants et à la jeunesse est louable et mérite d'être soutenue. C'est pourquoi je suis là pour soutenir ce projet.»
Pierrette Adams
C'est avec un grand plaisir que je suis venu spontanément. C'est un projet un projet qui me parle tout simplement parce que je suis venu à la musique justement par ce genre d'action. J'essaie de rendre ce que ça m'a donné. Et une fois qu'on m'appelle pour des actions pareilles, je viens naturellement. Je suis aussi heureux de retrouver le public ivoirien, parce que la Côte d'Ivoire, c'est chez moi. Je suis resté 18 ans ici. Je suis à la maison, donc pas trop dépaysé. Je connais la ville, le pays. »
Roger X-Maleya : « C'est un projet qui doit tous nous interpeller. Les chiffres que le représentant de l'Unesco a donnés tout à l'heure font peur. On réalise que le potentiel de l'Afrique n'est même pas utilisé. Et on est obligé de se mobiliser pour que l'Afrique avance, se développe, s'épanouisse. Il faut bien qu'on se le dise. Ce n'est pas les autres qui viendront construire notre Afrique. C'est nous-mêmes. C'est pourquoi, lorsque notre frère A'salfo nous a parlés de ce projet, on a dit oui tout de suite.»
Barbara Kanam
« Je salue cette mobilisation des artistes qui ont décidé de s'engager dans cette campagne de sensibilisation des Africains sur le problème de l'éducation. C'est-à-dire l'avenir de nos enfants. J'essaierai de donner le meilleur de moi-même pour que l'éducation soit une réalité en Afrique. Je ferai en sorte pour toucher le cœur de gens. C'est vrai qu'on est là pour faire danser, pour faire rêver. Mais on est aussi là pour sensibiliser, pour parler, pour conscientiser.»
Recueilli par YS
« La musique est un pan important du développement. Et l'éducation est le pan qui reste primordial. Et nous saluons cela. Quand on connaît l'engagement de chaque artiste pris individuellement, je crois qu'on est parti pour permettre aux enfants d'aller à l'école, de leur donner la chance d'avoir un avenir meilleur. Je suis très heureux d'être là et de retrouver des artistes qui sont très représentatifs de la nouvelle génération en Afrique et chacun porte haut le flambeau de son pays.»
Didier Awadi
« Pour moi, c'est un devoir de participer à ce projet. Beaucoup de gens n'ont pas encore accès à l'éducation. Nous, nous avons eu cette chance et nous sommes aujourd'hui des privilégiés dans la société. Le minimum qu'on peut faire, c'est de redonner un peu de ce que la nature nous a donnés. La plupart des gens qui n'écoutent n'ont pas encore accès à l'éducation. Malheureusement, c'est encore un privilège, un luxe. Donc, si on peut faire une chanson pour aider à démocratiser l'éducation, on a le devoir de le faire »
J. Martins
« A'salfo est un bon ami. Donc, quand il m'a appelé pour participer à ce projet lié à l'éducation pour l'Unesco, ça a été un immense plaisir de venir. J'ai moi-même une fondation qui aide à sauver l'avenir des enfants africains en difficulté. Je pense que c'est sensiblement le même objectif que ce projet. Et toute initiative qui a pour but d'apporter l'éducation aux enfants et à la jeunesse est louable et mérite d'être soutenue. C'est pourquoi je suis là pour soutenir ce projet.»
Pierrette Adams
C'est avec un grand plaisir que je suis venu spontanément. C'est un projet un projet qui me parle tout simplement parce que je suis venu à la musique justement par ce genre d'action. J'essaie de rendre ce que ça m'a donné. Et une fois qu'on m'appelle pour des actions pareilles, je viens naturellement. Je suis aussi heureux de retrouver le public ivoirien, parce que la Côte d'Ivoire, c'est chez moi. Je suis resté 18 ans ici. Je suis à la maison, donc pas trop dépaysé. Je connais la ville, le pays. »
Roger X-Maleya : « C'est un projet qui doit tous nous interpeller. Les chiffres que le représentant de l'Unesco a donnés tout à l'heure font peur. On réalise que le potentiel de l'Afrique n'est même pas utilisé. Et on est obligé de se mobiliser pour que l'Afrique avance, se développe, s'épanouisse. Il faut bien qu'on se le dise. Ce n'est pas les autres qui viendront construire notre Afrique. C'est nous-mêmes. C'est pourquoi, lorsque notre frère A'salfo nous a parlés de ce projet, on a dit oui tout de suite.»
Barbara Kanam
« Je salue cette mobilisation des artistes qui ont décidé de s'engager dans cette campagne de sensibilisation des Africains sur le problème de l'éducation. C'est-à-dire l'avenir de nos enfants. J'essaierai de donner le meilleur de moi-même pour que l'éducation soit une réalité en Afrique. Je ferai en sorte pour toucher le cœur de gens. C'est vrai qu'on est là pour faire danser, pour faire rêver. Mais on est aussi là pour sensibiliser, pour parler, pour conscientiser.»
Recueilli par YS