L’entreprise Plastica, située en zone industrielle de Koumassi, aurait-elle commencé à faire ses bagages ?
C’est du moins l’information qui nous est parvenue en cette matinée du mardi 27 août. Nous nous sommes immédiatement rendus sur les lieux pour constater ce qu’il en est réellement. Sur place, nous sommes conduits vers l’unité de production de sachets plastiques. Nous constatons que des extrudeuses (machines servant à fabriquer des emballages plastiques) ont été démontées et sont transportées vers des containers amenés pour la circonstance.
Nous demandons à rencontrer le premier responsable de l’usine. Un jeune ivoirien d’origine libanaise nous est présenté. Il s’agit de M. Abass Badrédine directeur général de Plastica. Celui-ci nous explique qu’effectivement, ces extrudeuses sont en route pour Lomé au Togo. Lorsque nous lui demandons de nous en dire plus, M. Badrédine nous fais savoir que compte tenu de la nouvelle loi qui interdit la production des sachets plastiques biodégradables ou non, il se voit dans l’obligation de décolaliser son unité de production ailleurs, en vue de pouvoir amortir son investissement. « Ces machines ont été conçues pour fabriquer des sachets plastiques, lorsqu’ on nous parle de reconversion, j’aimerais savoir de quoi parle-t-on » rétorque- t-il. « Pour l’instant, le plus gros de l’outil de production est encore sur place. J’espère encore que le gouvernement prendra en compte nos doléances et nous permettra de produire des sachets biodégradables » rassure-t-il.
Après un petit tour à l’intérieur de l’usine ou nous constatons l’ampleur des investissements réalisés et la quantité énorme de matières premières stockées, nous prenons congé de lui.
Il faut noter que Le gouvernement ivoirien a décidé le mercredi 22 mai dernier, d’interdire la production, l’importation, la commercialisation, la détention et l’utilisation des sachets plastiques sur toute l’étendue du territoire national. Les producteurs ont un délai de 6 mois pour se conformer à la décision. La plupart d’entre-elles envisagent la fermeture ou la délocalisation au cas où ce décret serait appliqué en l’état.
C’est du moins l’information qui nous est parvenue en cette matinée du mardi 27 août. Nous nous sommes immédiatement rendus sur les lieux pour constater ce qu’il en est réellement. Sur place, nous sommes conduits vers l’unité de production de sachets plastiques. Nous constatons que des extrudeuses (machines servant à fabriquer des emballages plastiques) ont été démontées et sont transportées vers des containers amenés pour la circonstance.
Nous demandons à rencontrer le premier responsable de l’usine. Un jeune ivoirien d’origine libanaise nous est présenté. Il s’agit de M. Abass Badrédine directeur général de Plastica. Celui-ci nous explique qu’effectivement, ces extrudeuses sont en route pour Lomé au Togo. Lorsque nous lui demandons de nous en dire plus, M. Badrédine nous fais savoir que compte tenu de la nouvelle loi qui interdit la production des sachets plastiques biodégradables ou non, il se voit dans l’obligation de décolaliser son unité de production ailleurs, en vue de pouvoir amortir son investissement. « Ces machines ont été conçues pour fabriquer des sachets plastiques, lorsqu’ on nous parle de reconversion, j’aimerais savoir de quoi parle-t-on » rétorque- t-il. « Pour l’instant, le plus gros de l’outil de production est encore sur place. J’espère encore que le gouvernement prendra en compte nos doléances et nous permettra de produire des sachets biodégradables » rassure-t-il.
Après un petit tour à l’intérieur de l’usine ou nous constatons l’ampleur des investissements réalisés et la quantité énorme de matières premières stockées, nous prenons congé de lui.
Il faut noter que Le gouvernement ivoirien a décidé le mercredi 22 mai dernier, d’interdire la production, l’importation, la commercialisation, la détention et l’utilisation des sachets plastiques sur toute l’étendue du territoire national. Les producteurs ont un délai de 6 mois pour se conformer à la décision. La plupart d’entre-elles envisagent la fermeture ou la délocalisation au cas où ce décret serait appliqué en l’état.