ABIDJAN, Voici les principales informations de journaux ivoiriens parus mercredi:
FRATERNITE MATIN
Le chef de l'État Alassane Ouattara est arrivé mardi à Abidjan après une visite privée de trois semaines en France. C'est à 16 h 20 mn (GMT et locale) que l'avion présidentiel a atterri sur le tarmac de l'aéroport Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan. A sa descente d'avion, le couple présidentiel a été accueilli par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan et plusieurs membres du gouvernement. Peu après, le président Ouattara a accordé une audience à Philipp Carter III nommé fraîchement ambassadeur des États-Unis en France. Dominique Ouattara et son époux ont fait don d'un masque Yacouba et d'un ensemble de nappes de table au couple Carter III. Le chef de l'État ivoirien a quitté Abidjan le vendredi 9 août après la célébration du 53ème anniversaire de l'indépendance de la Côte d'Ivoire et au lendemain de la fête du Ramadan. Déjà, le 6 août, à la veille de cette célébration, l'ensemble du gouvernement était en vacances pour deux semaines après le dernier conseil des ministres.
LE NOUVEAU REVEIL
Le patronat ivoirien réuni au sein de la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI) prépare, dans une atmosphère de réelles tensions entre ses membres, une assemblée générale mixte le 05 septembre. Selon des indiscrétions, la question d'un 3ème mandat que l'on dit "non statutaire" pour le président Jean Kacou Diagou alimenterait le malaise. Au point où d'aucuns se demandent si la CGECI ne va pas imploser. Des informations circulant dans les milieux économiques font état de ce que la raison première à cette situation de tension serait institutionnelle. Notamment, des écarts avec les statuts, comme principale pomme de discorde. En effet, au dire des uns et des autres, le mandat du président Jean Kacou Diagou et de l'ensemble des administrateurs de l'organisation seraient arrivés à terme depuis le début de l'année 2011. Ce serait à titre exceptionnel et sur la base d'un arrangement entre eux, que les membres de leur structure commune auraient convenu, à deux reprises (une première fois en 2011 puis une seconde fois en 2012) de proroger d'une année ledit mandat, à chaque fois. Et c'est la gestion de ces arrangements qui serait la source des tensions à la CGECI.
LE MANDAT
Après deux jours de grève des taxis-compteurs, le ministre des Transports Gaoussou Touré a réagi. Selon lui, les principaux motifs émis par les grévistes sont "la concurrence déloyale des véhicules banalisés et leur conséquence sur l'activité des professionnels des transports, la non application du protocole d'accord signé le 02 novembre 2012 avec le ministère de tutelle devant interdire l'exercice du transport aux véhicules banalisés, les nombreux prélèvements illicites et abusifs effectués à tous les coins de rues par des pseudo-syndicalistes sur les braves conducteurs de gbakas (véhicules de transport en commun)". Pour le ministre Gaoussou Touré, cette grève tire fondamentalement son origine du sentiment qu'ont ceux-ci de l'arrêt des opérations de contrôle lancées par le gouvernement depuis le 15 juillet aux fins de contraindre à la mise en règle des véhicules de transport public de passagers à Abidjan. Une action dont ils avaient tous salué l'avènement.
FRATERNITE MATIN
Le chef de l'État Alassane Ouattara est arrivé mardi à Abidjan après une visite privée de trois semaines en France. C'est à 16 h 20 mn (GMT et locale) que l'avion présidentiel a atterri sur le tarmac de l'aéroport Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan. A sa descente d'avion, le couple présidentiel a été accueilli par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan et plusieurs membres du gouvernement. Peu après, le président Ouattara a accordé une audience à Philipp Carter III nommé fraîchement ambassadeur des États-Unis en France. Dominique Ouattara et son époux ont fait don d'un masque Yacouba et d'un ensemble de nappes de table au couple Carter III. Le chef de l'État ivoirien a quitté Abidjan le vendredi 9 août après la célébration du 53ème anniversaire de l'indépendance de la Côte d'Ivoire et au lendemain de la fête du Ramadan. Déjà, le 6 août, à la veille de cette célébration, l'ensemble du gouvernement était en vacances pour deux semaines après le dernier conseil des ministres.
LE NOUVEAU REVEIL
Le patronat ivoirien réuni au sein de la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI) prépare, dans une atmosphère de réelles tensions entre ses membres, une assemblée générale mixte le 05 septembre. Selon des indiscrétions, la question d'un 3ème mandat que l'on dit "non statutaire" pour le président Jean Kacou Diagou alimenterait le malaise. Au point où d'aucuns se demandent si la CGECI ne va pas imploser. Des informations circulant dans les milieux économiques font état de ce que la raison première à cette situation de tension serait institutionnelle. Notamment, des écarts avec les statuts, comme principale pomme de discorde. En effet, au dire des uns et des autres, le mandat du président Jean Kacou Diagou et de l'ensemble des administrateurs de l'organisation seraient arrivés à terme depuis le début de l'année 2011. Ce serait à titre exceptionnel et sur la base d'un arrangement entre eux, que les membres de leur structure commune auraient convenu, à deux reprises (une première fois en 2011 puis une seconde fois en 2012) de proroger d'une année ledit mandat, à chaque fois. Et c'est la gestion de ces arrangements qui serait la source des tensions à la CGECI.
LE MANDAT
Après deux jours de grève des taxis-compteurs, le ministre des Transports Gaoussou Touré a réagi. Selon lui, les principaux motifs émis par les grévistes sont "la concurrence déloyale des véhicules banalisés et leur conséquence sur l'activité des professionnels des transports, la non application du protocole d'accord signé le 02 novembre 2012 avec le ministère de tutelle devant interdire l'exercice du transport aux véhicules banalisés, les nombreux prélèvements illicites et abusifs effectués à tous les coins de rues par des pseudo-syndicalistes sur les braves conducteurs de gbakas (véhicules de transport en commun)". Pour le ministre Gaoussou Touré, cette grève tire fondamentalement son origine du sentiment qu'ont ceux-ci de l'arrêt des opérations de contrôle lancées par le gouvernement depuis le 15 juillet aux fins de contraindre à la mise en règle des véhicules de transport public de passagers à Abidjan. Une action dont ils avaient tous salué l'avènement.