Divo - Coulibaly Kassoum et Palé Sié, deux présumés malfrats spécialisés dans le braquage de moto, ont été appréhendés et déférés à la maison d’arrêt et de correction de Divo, a-t-on appris jeudi auprès de la police locale.
Le lieu de prédilection de ces deux individus est le pont sur la rivière Boubo, à la sortie de la ville de Divo, en direction de Lakota. Leur mode opératoire consistait à tendre une corde en travers de la route. Au passage des motocyclistes, la corde est soulevée pour les renverser. Une fois à terre, ils sont ligotés avant d’être dépouillés de tous leurs biens, y compris la moto et les pièces afférentes.
Ainsi dans la nuit du 18 et du 19 août, ces deux individus se sont emparés de deux motos et de plusieurs autres biens dont des téléphones portables appartenant aux sieurs Sanogo Adama, boucher de son état, et Kacou N’da Stanislas, en service à l’agence locale de Canal Horizon.
Mais le téléphone portable arraché à la dernière victime va leur jouer un sale tour.
En effet, grâce au système de renvoi d’appel qu’elle avait activé, cette dernière, qui avait entre-temps récupéré son numéro d’appel auprès de la maison de téléphonie mobile où elle est abonnée, reçoit de nombreux appels d’un numéro inconnu de lui.
A partir de ce numéro d’appel, la police parvient à identifier l’interlocuteur des bandits grâce à la complicité de la maison de téléphonie mobile. Appréhendé, ce dernier, un mécanicien de moto, révèle à la police qu’il n’est que l’acquéreur d’une des motos mise en vente par Coulibaly Kassoum et son acolyte.
Il va, cependant, servir d’appât à la police pour lui permettre de mettre le grappin sur les deux braqueurs. A sa demande, ces derniers se rendent à son domicile. Une fois sur place, ils sont cueillis à froid par les policiers en embuscade. Une perquisition au domicile de Coulibaly Kassoum, au quartier Zamlamabougou, a permis à la police de récupérer leur butin ainsi qu’un fusil calibre 12 à canon scié.
Ces deux malfrats sont détenus depuis lundi à la maison d’arrêt et de correction de Divo en attendant de répondre de leurs actes. Ils sont poursuivis pour les faits de vol de nuit en réunion et à mains armées.
(Aip)
Rkk/kp
Le lieu de prédilection de ces deux individus est le pont sur la rivière Boubo, à la sortie de la ville de Divo, en direction de Lakota. Leur mode opératoire consistait à tendre une corde en travers de la route. Au passage des motocyclistes, la corde est soulevée pour les renverser. Une fois à terre, ils sont ligotés avant d’être dépouillés de tous leurs biens, y compris la moto et les pièces afférentes.
Ainsi dans la nuit du 18 et du 19 août, ces deux individus se sont emparés de deux motos et de plusieurs autres biens dont des téléphones portables appartenant aux sieurs Sanogo Adama, boucher de son état, et Kacou N’da Stanislas, en service à l’agence locale de Canal Horizon.
Mais le téléphone portable arraché à la dernière victime va leur jouer un sale tour.
En effet, grâce au système de renvoi d’appel qu’elle avait activé, cette dernière, qui avait entre-temps récupéré son numéro d’appel auprès de la maison de téléphonie mobile où elle est abonnée, reçoit de nombreux appels d’un numéro inconnu de lui.
A partir de ce numéro d’appel, la police parvient à identifier l’interlocuteur des bandits grâce à la complicité de la maison de téléphonie mobile. Appréhendé, ce dernier, un mécanicien de moto, révèle à la police qu’il n’est que l’acquéreur d’une des motos mise en vente par Coulibaly Kassoum et son acolyte.
Il va, cependant, servir d’appât à la police pour lui permettre de mettre le grappin sur les deux braqueurs. A sa demande, ces derniers se rendent à son domicile. Une fois sur place, ils sont cueillis à froid par les policiers en embuscade. Une perquisition au domicile de Coulibaly Kassoum, au quartier Zamlamabougou, a permis à la police de récupérer leur butin ainsi qu’un fusil calibre 12 à canon scié.
Ces deux malfrats sont détenus depuis lundi à la maison d’arrêt et de correction de Divo en attendant de répondre de leurs actes. Ils sont poursuivis pour les faits de vol de nuit en réunion et à mains armées.
(Aip)
Rkk/kp