Dakar (Sénégal)- La Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) est préoccupée par un certain nombre de facteurs de risque pouvant impacter la croissance économique de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) en 2014.
«Les membres du comité de politique monétaire (CPM) ont, à cet égard, relevé que l’un des principaux facteurs de risque est l’impact négatif du ralentissement de la croissance dans les pays émergents sur les cours mondiaux des produits de base exportés par les pays de l’Union », a affirmé mercredi à Dakar le gouverneur de la BCEAO Tiémoko Meyliet Koné.
Selon lui, ces risques pèsent sur la réalisation du taux de croissance de 7,3% prévu pour 2014. Pour l’année 2013, les dernières estimations situent le taux de progression du Produit Intérieur Brut à 6,4% en volume.
A l’égard des Etats membres de l’UEMOA, les membres du CPM ont exhorté de poursuivre la mise en œuvre des réformes structurelles indispensables pour la réalisation d’une croissance économique forte dans la zone.
« A cet égard, il importe de maintenir les efforts d’assainissement des finances publiques et de mobilisation des ressources pour le financement des investissements », affirme le gouverneur Koné.
Il a été, en outre, mis l’accent sur la nécessité d’améliorer le climat des affaires dans les Etats membres.
MS/od/APA
«Les membres du comité de politique monétaire (CPM) ont, à cet égard, relevé que l’un des principaux facteurs de risque est l’impact négatif du ralentissement de la croissance dans les pays émergents sur les cours mondiaux des produits de base exportés par les pays de l’Union », a affirmé mercredi à Dakar le gouverneur de la BCEAO Tiémoko Meyliet Koné.
Selon lui, ces risques pèsent sur la réalisation du taux de croissance de 7,3% prévu pour 2014. Pour l’année 2013, les dernières estimations situent le taux de progression du Produit Intérieur Brut à 6,4% en volume.
A l’égard des Etats membres de l’UEMOA, les membres du CPM ont exhorté de poursuivre la mise en œuvre des réformes structurelles indispensables pour la réalisation d’une croissance économique forte dans la zone.
« A cet égard, il importe de maintenir les efforts d’assainissement des finances publiques et de mobilisation des ressources pour le financement des investissements », affirme le gouverneur Koné.
Il a été, en outre, mis l’accent sur la nécessité d’améliorer le climat des affaires dans les Etats membres.
MS/od/APA