Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan a soutenu vendredi à Abidjan, que l’inauguration du bureau national de l’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) à Abidjan et le retour de la Banque africaine de développement (Bad), constituent un des signes et une des preuves les plus ‘’tangibles’’ du retour de la paix et de la réconciliation en Côte d’Ivoire.
Cette inauguration du bureau de l'Unesco s'est déroulée en présence de la Directrice générale de cette organisation, Irina Bokova, à qui le chef du gouvernement ivoirien a assuré du ‘'soutien ferme de l'État de Côte d'Ivoire".
Mme Irina Bokova dit voir dans la mise en service de la représentation de l'Unesco, le ‘'symbole du lien privilégié'' qui unit la Côte d'Ivoire et l'institution des Nations-Unies qu'elle dirige.
Commentant le thème général de la commémoration du cinquantenaire de l'Union Africaine qui était "la Renaissance africaine", Irina Bokova a indiqué que cette renaissance ne peut être possible qu'avec "l'éducation et la formation des jeunes".
"La renaissance africaine passe par le dialogue interculturel, la prévention des conflits, la promotion de la diversité culturelle comme source de créativité" a-t-elle poursuivi, tout en mentionnant que cela passe aussi par la coopération scientifique pour la gestion durable des ressources forestières.
Mme Bokova a en outre souhaité que ce bureau devienne "un lieu de dialogue et d'échanges pour fédérer les énergies au services de la Côte d'Ivoire". Ce bureau est dirigé par M. Ydo Yao.
En 1996, la représentation de l'Unesco à Abidjan avait délocalisé son bureau à Accra au Ghana. Pendant 16 ans, les autorités ivoiriennes étaient contraintes à collaborer avec ce bureau ou avec celui de Dakar au Sénégal.
Cette inauguration du bureau de l'Unesco s'est déroulée en présence de la Directrice générale de cette organisation, Irina Bokova, à qui le chef du gouvernement ivoirien a assuré du ‘'soutien ferme de l'État de Côte d'Ivoire".
Mme Irina Bokova dit voir dans la mise en service de la représentation de l'Unesco, le ‘'symbole du lien privilégié'' qui unit la Côte d'Ivoire et l'institution des Nations-Unies qu'elle dirige.
Commentant le thème général de la commémoration du cinquantenaire de l'Union Africaine qui était "la Renaissance africaine", Irina Bokova a indiqué que cette renaissance ne peut être possible qu'avec "l'éducation et la formation des jeunes".
"La renaissance africaine passe par le dialogue interculturel, la prévention des conflits, la promotion de la diversité culturelle comme source de créativité" a-t-elle poursuivi, tout en mentionnant que cela passe aussi par la coopération scientifique pour la gestion durable des ressources forestières.
Mme Bokova a en outre souhaité que ce bureau devienne "un lieu de dialogue et d'échanges pour fédérer les énergies au services de la Côte d'Ivoire". Ce bureau est dirigé par M. Ydo Yao.
En 1996, la représentation de l'Unesco à Abidjan avait délocalisé son bureau à Accra au Ghana. Pendant 16 ans, les autorités ivoiriennes étaient contraintes à collaborer avec ce bureau ou avec celui de Dakar au Sénégal.