Cinq personnes ont été tuées mercredi et jeudi dans des attaques de coupeurs de route perpétrées au Nord et à l’Ouest de la Côte d’Ivoire, a appris APA jeudi de sources concordantes dans la capitale économique ivoirienne.
Selon ces sources trois personnes dont un dozo (chasseur traditionnel) ont été tuées dans la nuit de mercredi à jeudi lors de l’attaque d’un minicar de transport sur l’axe Duékoué-Bangolo (plus de 600 kms à l’Ouest d’Abidjan). L’incident est intervenu peu après minuit, heure locale et en Gmt. Les occupants du véhicule ont été dépouillés de tous leurs biens.
Une attaque similaire avait fait deux morts début juin entre les localités de Binoa et de Béoué sur le même axe Duekoué-Bangolo, lorsqu’un véhicule de type Massa, transportant les joueurs de l’équipe de football de l’entente sportive du Bafing après sa victoire sur l’équipe d’Adzopé, a été attaqué aux environs de 23 heures (heure locale et gmt) par trois coupeurs de route armés de Kalachnikov.
Avant cette attaque de l’Ouest, des coupeurs de route ont ouvert à la mi-journée de mercredi le feu sur des forces de l’ordre sur l’axe Ferkessédougou-Kong, tuant un gendarme et un militaire, membres du dispositif de sécurité mixte posté dans le département de Ferkéssoudougou dans l’extrême Nord du pays.
Début juillet, alors que le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara entamait une visite d’Etat d’une semaine dans le district des Savanes (Korhogo située à plus 633 kms au Nord d’Abidjan), un cortège de l’Autorité du désarmement, de la démobilisation et la réintégration (Addr) des ex-combattants avait causé la mort d’un gendarme de la garde rapprochée du Directeur général de cette structure, Fidèle Sarassoro.
Le phénomène des coupeurs de route connaît des proportions alarmantes à l’Ouest, au Nord et au Centre du pays. La semaine dernière des patrouilles de gendarme ont été attaquées à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne, faisant au total cinq morts dont des gendarmes.
En guise de réponse à cette situation, le Conseil national de la sécurité (Cns) présidé par le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara a récemment mis en le Centre de coordination des décisions opérationnelles (Ccdo) avec pour mission de traquer ces bandits à Abidjan et à l’intérieur du pays.
LS/APA
Selon ces sources trois personnes dont un dozo (chasseur traditionnel) ont été tuées dans la nuit de mercredi à jeudi lors de l’attaque d’un minicar de transport sur l’axe Duékoué-Bangolo (plus de 600 kms à l’Ouest d’Abidjan). L’incident est intervenu peu après minuit, heure locale et en Gmt. Les occupants du véhicule ont été dépouillés de tous leurs biens.
Une attaque similaire avait fait deux morts début juin entre les localités de Binoa et de Béoué sur le même axe Duekoué-Bangolo, lorsqu’un véhicule de type Massa, transportant les joueurs de l’équipe de football de l’entente sportive du Bafing après sa victoire sur l’équipe d’Adzopé, a été attaqué aux environs de 23 heures (heure locale et gmt) par trois coupeurs de route armés de Kalachnikov.
Avant cette attaque de l’Ouest, des coupeurs de route ont ouvert à la mi-journée de mercredi le feu sur des forces de l’ordre sur l’axe Ferkessédougou-Kong, tuant un gendarme et un militaire, membres du dispositif de sécurité mixte posté dans le département de Ferkéssoudougou dans l’extrême Nord du pays.
Début juillet, alors que le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara entamait une visite d’Etat d’une semaine dans le district des Savanes (Korhogo située à plus 633 kms au Nord d’Abidjan), un cortège de l’Autorité du désarmement, de la démobilisation et la réintégration (Addr) des ex-combattants avait causé la mort d’un gendarme de la garde rapprochée du Directeur général de cette structure, Fidèle Sarassoro.
Le phénomène des coupeurs de route connaît des proportions alarmantes à l’Ouest, au Nord et au Centre du pays. La semaine dernière des patrouilles de gendarme ont été attaquées à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne, faisant au total cinq morts dont des gendarmes.
En guise de réponse à cette situation, le Conseil national de la sécurité (Cns) présidé par le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara a récemment mis en le Centre de coordination des décisions opérationnelles (Ccdo) avec pour mission de traquer ces bandits à Abidjan et à l’intérieur du pays.
LS/APA