La cérémonie solennelle marquant le début du mandat du président de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Kéita, tenue jeudi au stade du 26 mars à Bamako, la capitale malienne, a enregistré la participation d'une vingtaine de chefs d'Etat et de gouvernement d'Afrique et d' ailleurs, a-t-on constaté lors de cette rencontre, qui aura drainé un beau monde comme en témoigne la présence massive des maliens et des étrangers.
Les présidents du Niger, Mahamadou Issoufou, du Gabon, Aly Bongo, du Bénin, Yayi Boni, du Sénégal, Macky Sall et de la Guinée Equatoriale, Théodoro O. NGuema, du Togo, Faure GNASSINGBE et du Nigéria, Goodluck Jonathan, y étaient présents.
Ceux de la Tunisie, Mohamed Moncef MARZOUKI, du Congo Brazzaville, Denis Sassou N'GUESSO, du Ghana, John Dramani Mahama, du Burkina Faso, Blaise Compaoré accompagné de son épouse, de la Guinée Conakry, Alpha Condé, du roi Mohamed VI du Maroc, de la Gambie, Yaya Djamey et de la Côte d'Ivoire, Alassane Dramane Ouattara, président en exercice de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO, y étaient également présents.
Le président français François Hollande et le président tchadien Idriss Déby Itno (ovationnés à plusieurs par le public), ont également répondu à l'invitation du président IBK, tout comme les Premiers ministres de l'Algérie et de la Guinée Bissau.
Lors de cette rencontre, le président IBK a indiqué à nouveau qu'il ''fera de la lutte contre la corruption'' son cheval de bataille. Celui-ci a mis un accent particulier sur la réconciliation nationale et la justice en précisant que ''nul sera au-dessus de la loi''.
Quant à son homologue français, François Hollande, il a salué la tenue de cette cérémonie qui est, selon lui, l'aboutissement d' un combat commun. Ce combat commun a ''commencé quand Konna ( localité par où ont commencé l'offensive malienne et l' intervention de l'Opération Serval contre les islamistes terroristes) a été libéré (..)'', a dit François Hollande qui a salué l'ancien président malien intérimaire Dioncounda Traoré '' sans l'appel duquel à l'endroit de la France, cette intervention n' aurait pas lieu''.
La guerre contre les terroristes au Mali a été gagnée, mais la vigilance doit être de mise, a conseillé Hollande. Les mêmes conseils ont été prodigués par le président tchadien Idriss Déby Itno.
Le vice-président du Comité national de la CCPPC et directeur de la Commission nationale des affaires ethniques, Wang Zhengwei, en tant qu'envoyé spécial du président chinois Xi Jinping, a assisté à la cérémonie d'inverstiture, et a été reçu par le président malien Ibrahim Boubacar Kéita.
Les présidents du Niger, Mahamadou Issoufou, du Gabon, Aly Bongo, du Bénin, Yayi Boni, du Sénégal, Macky Sall et de la Guinée Equatoriale, Théodoro O. NGuema, du Togo, Faure GNASSINGBE et du Nigéria, Goodluck Jonathan, y étaient présents.
Ceux de la Tunisie, Mohamed Moncef MARZOUKI, du Congo Brazzaville, Denis Sassou N'GUESSO, du Ghana, John Dramani Mahama, du Burkina Faso, Blaise Compaoré accompagné de son épouse, de la Guinée Conakry, Alpha Condé, du roi Mohamed VI du Maroc, de la Gambie, Yaya Djamey et de la Côte d'Ivoire, Alassane Dramane Ouattara, président en exercice de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO, y étaient également présents.
Le président français François Hollande et le président tchadien Idriss Déby Itno (ovationnés à plusieurs par le public), ont également répondu à l'invitation du président IBK, tout comme les Premiers ministres de l'Algérie et de la Guinée Bissau.
Lors de cette rencontre, le président IBK a indiqué à nouveau qu'il ''fera de la lutte contre la corruption'' son cheval de bataille. Celui-ci a mis un accent particulier sur la réconciliation nationale et la justice en précisant que ''nul sera au-dessus de la loi''.
Quant à son homologue français, François Hollande, il a salué la tenue de cette cérémonie qui est, selon lui, l'aboutissement d' un combat commun. Ce combat commun a ''commencé quand Konna ( localité par où ont commencé l'offensive malienne et l' intervention de l'Opération Serval contre les islamistes terroristes) a été libéré (..)'', a dit François Hollande qui a salué l'ancien président malien intérimaire Dioncounda Traoré '' sans l'appel duquel à l'endroit de la France, cette intervention n' aurait pas lieu''.
La guerre contre les terroristes au Mali a été gagnée, mais la vigilance doit être de mise, a conseillé Hollande. Les mêmes conseils ont été prodigués par le président tchadien Idriss Déby Itno.
Le vice-président du Comité national de la CCPPC et directeur de la Commission nationale des affaires ethniques, Wang Zhengwei, en tant qu'envoyé spécial du président chinois Xi Jinping, a assisté à la cérémonie d'inverstiture, et a été reçu par le président malien Ibrahim Boubacar Kéita.