L'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) annonce l'ouverture d'une "enquête interne" sur deux fonctionnaires de la Mission pour leur implication supposée dans une "affaire criminelle" à Abidjan.
L'Onuci qui dit prendre cette affaire "très au sérieux" a ouvert une "enquête interne sans préjudice des procédures propres à la Côte d'Ivoire", indique un communiqué de la Mission onusienne transmise jeudi à Xinhua.
Selon le texte, "des informations de plus en plus pressantes font état de l'implication présumée de deux fonctionnaires internationaux de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) dans une affaire criminelle".
La presse ivoirienne révèle la découverte, le 13 septembre, du corps torturé et sans vie d'une jeune fille ivoirienne enlevée cinq jour plus tôt sur son lieu de travail, un bar situé dans la commune de Marcory (sud d'Abidjan), et croit savoir que les suspects sont une employée de l'Onuci et son compagnon également fonctionnaire international à l'Onuci.
Toujours selon les médias ivoiriens, le Parquet d'Abidjan s'est saisi de l'affaire.
Dans son communiqué, l'Onuci insiste sur "sa longue tradition de coopération avec les institutions judiciaires nationales chaque fois que de besoin".
"L'Onuci continuera cette collaboration dans le cadre de la conduite de toutes les enquêtes nécessaires concernant cette affaire" conformément aux "procédures de saisine" stipulées par l'accord entre l'ONU et le gouvernement ivoirien et "en vertu de l'obligation d'assistance mutuelle", conclut le communiqué.
L'Onuci qui dit prendre cette affaire "très au sérieux" a ouvert une "enquête interne sans préjudice des procédures propres à la Côte d'Ivoire", indique un communiqué de la Mission onusienne transmise jeudi à Xinhua.
Selon le texte, "des informations de plus en plus pressantes font état de l'implication présumée de deux fonctionnaires internationaux de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) dans une affaire criminelle".
La presse ivoirienne révèle la découverte, le 13 septembre, du corps torturé et sans vie d'une jeune fille ivoirienne enlevée cinq jour plus tôt sur son lieu de travail, un bar situé dans la commune de Marcory (sud d'Abidjan), et croit savoir que les suspects sont une employée de l'Onuci et son compagnon également fonctionnaire international à l'Onuci.
Toujours selon les médias ivoiriens, le Parquet d'Abidjan s'est saisi de l'affaire.
Dans son communiqué, l'Onuci insiste sur "sa longue tradition de coopération avec les institutions judiciaires nationales chaque fois que de besoin".
"L'Onuci continuera cette collaboration dans le cadre de la conduite de toutes les enquêtes nécessaires concernant cette affaire" conformément aux "procédures de saisine" stipulées par l'accord entre l'ONU et le gouvernement ivoirien et "en vertu de l'obligation d'assistance mutuelle", conclut le communiqué.