Le Premier ministre, ministre de l’Economie et des Finances, Daniel Kablan Duncan a participé le lundi 7 octobre 2013 à l’ouverture du 13ème Forum économique international sur l'Afrique qui se tient au Centre de développement de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) de Paris (France).
A cette occasion, il est intervenu sur le thème : «Les perspectives de développement du continent africain, les défis et les opportunités pour la Côte d’Ivoire, le rôle que pourrait jouer l’OCDE». Daniel Kablan Duncan est revenu sur les clés de la croissance constatée en Afrique subsaharienne. «Les projections de 2014 tablent sur une croissance de 5,9% (en Afrique subsaharienne) contre 3,8% pour la moyenne mondiale», a-t-il indiqué. Il voit de nombreuses raisons à ces différents résultats.
Entre autres la stabilité politique et macroéconomique enregistrée dans plusieurs Etats africains, la mise en œuvre de profondes réformes structurelles dans la plupart de ces pays, l’exploitation d’un important potentiel en ressources agricoles, minières, minérales et la formation accélérée d’un grand nombre de cadres dans maints domaines. Pour consolider ces résultats et les améliorer substantiellement, l’Afrique doit relever de grands défis, selon Daniel Kablan Duncan. Il préconise donc une intégration économique plus poussée et de vaincre le défi de l’emploi.
«En 2050, l’Afrique disposera de 25% de la force de travail mondial. La population africaine devrait augmenter de 1,1 milliards d’habitants en 2013 à 2,4 milliards d’habitants en 2050», argumente-t-il. Enfin le défi l’industrialisation restera à relever et le renforcement du capital humain et des Institutions. Daniel Kablan Duncan a pris l’exemple de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour mettre en exergue une croissance plus solidaire au profit du plus grand nombre.
«L’objectif est de créer une monnaie unique de la CEDEAO en 2020», a-t-il dit. Profitant de cette tribune économique internationale, le Premier ministre n’a pas manqué d’ausculter la vision du Chef de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent en 2020.
«Il s’agit de construire à terme une économie structurellement plus industrialisée, capable de fournir plus de valeur ajoutée et d’accroître très significativement la part des produits manufacturés dans le PIB et les exportations, tout en tirant le meilleur parti de ses importantes ressources naturelles (agricoles, pétrolières, gazières », a examiné le Premier ministre ivoirien.
Ce Forum est une réunion annuelle de responsables politiques,
économistes et chercheurs travaillant sur et avec l'Afrique. Chaque année, plus de 500 participants s’y réunissent pour discuter de la performance des économies africaines et des grands défis auxquels est confronté le continent. Le thème de cette 13è édition est : «Tirer parti des ressources naturelles par la transformation économique».
FO
A cette occasion, il est intervenu sur le thème : «Les perspectives de développement du continent africain, les défis et les opportunités pour la Côte d’Ivoire, le rôle que pourrait jouer l’OCDE». Daniel Kablan Duncan est revenu sur les clés de la croissance constatée en Afrique subsaharienne. «Les projections de 2014 tablent sur une croissance de 5,9% (en Afrique subsaharienne) contre 3,8% pour la moyenne mondiale», a-t-il indiqué. Il voit de nombreuses raisons à ces différents résultats.
Entre autres la stabilité politique et macroéconomique enregistrée dans plusieurs Etats africains, la mise en œuvre de profondes réformes structurelles dans la plupart de ces pays, l’exploitation d’un important potentiel en ressources agricoles, minières, minérales et la formation accélérée d’un grand nombre de cadres dans maints domaines. Pour consolider ces résultats et les améliorer substantiellement, l’Afrique doit relever de grands défis, selon Daniel Kablan Duncan. Il préconise donc une intégration économique plus poussée et de vaincre le défi de l’emploi.
«En 2050, l’Afrique disposera de 25% de la force de travail mondial. La population africaine devrait augmenter de 1,1 milliards d’habitants en 2013 à 2,4 milliards d’habitants en 2050», argumente-t-il. Enfin le défi l’industrialisation restera à relever et le renforcement du capital humain et des Institutions. Daniel Kablan Duncan a pris l’exemple de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour mettre en exergue une croissance plus solidaire au profit du plus grand nombre.
«L’objectif est de créer une monnaie unique de la CEDEAO en 2020», a-t-il dit. Profitant de cette tribune économique internationale, le Premier ministre n’a pas manqué d’ausculter la vision du Chef de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent en 2020.
«Il s’agit de construire à terme une économie structurellement plus industrialisée, capable de fournir plus de valeur ajoutée et d’accroître très significativement la part des produits manufacturés dans le PIB et les exportations, tout en tirant le meilleur parti de ses importantes ressources naturelles (agricoles, pétrolières, gazières », a examiné le Premier ministre ivoirien.
Ce Forum est une réunion annuelle de responsables politiques,
économistes et chercheurs travaillant sur et avec l'Afrique. Chaque année, plus de 500 participants s’y réunissent pour discuter de la performance des économies africaines et des grands défis auxquels est confronté le continent. Le thème de cette 13è édition est : «Tirer parti des ressources naturelles par la transformation économique».
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