Il est l'un des hommes, par qui la fraude est organisée. Lui, c'est Malick Sankhon, un homme d'intrigue et prêt à toute transhumance, pour sauvegarder ses intérêts.
Assurément, cet homme, qui servit tous les pouvoirs avec zèle et manigances, est en train de faire planer sur la Guinée, une menace à l'Ivoirienne. Les observateurs n'hésitent pas à le comparer à un certain Damana Pickas, un autre boutefeu de Laurent Gbagbo, qui avait déchiré devant caméras et flash du monde entier, les PV d'élections qui donnaient son champion, perdant.
Malick Sankhon, comme Damana Pikass
Malick Sankhon, connu sous le sobriquet peu flatteur de "Cent cons", est l'actuel Directeur Général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). Le scénario du blocage de la proclamation des résultats issus des urnes a commencé le lundi 7 octobre dernier. Ce jour-là, l'ex- fondateur du tristement célèbre mouvement de soutien baptisé Lansana Conté Continue (LCC), a fait irruption dans le centre de compilation des résultats de Matoto (plus grande circonscription électorale de la Guinée avec plus 500 000), en vue de bloquer la proclamation des résultats qui plaçaient, on s'en doute, l'UFR de Sydia Touré, en tête.
Le DG du CNSS est arrivé, en compagnie de plusieurs bérets rouges et a agressé plusieurs délégués de l'UFR, dont M. Babara Fofana. Tout cela dans le but de faire arrêter le décompte qui donnait largement l'UFR en tête .Pouvoir quand tu nous tiens.
Vite, un hélico pour Kaloum !
Autre cas symptomatique de la volonté d'Alpha Condé et de son RPG, de confisquer le suffrage du peuple : Kaloum. Dans cette commune administrative de la capitale guinéenne, traditionnellement acquise à la cause de Sydia Touré, la proclamation des résultats est bloquée. Le pouvoir Condé peut-il expliquer aux Guinéens et à la communauté internationale, pourquoi il est impossible de proclamer des résultats dans une circonscription de seulement 32 procès-verbaux, située à seulement 1.6 km du siège de la Ceni (sis au quartier Cameroun). Doit-on aller chercher ses résultats dans un hélicoptère, comme cela a été le cas pour N'Zérékoré, situé à plus de 1000 km ?
Décidément, la tentative de hold-up du clan Condé est mal ficelée. Et c'est une honte pour la démocratie !
Assurément, cet homme, qui servit tous les pouvoirs avec zèle et manigances, est en train de faire planer sur la Guinée, une menace à l'Ivoirienne. Les observateurs n'hésitent pas à le comparer à un certain Damana Pickas, un autre boutefeu de Laurent Gbagbo, qui avait déchiré devant caméras et flash du monde entier, les PV d'élections qui donnaient son champion, perdant.
Malick Sankhon, comme Damana Pikass
Malick Sankhon, connu sous le sobriquet peu flatteur de "Cent cons", est l'actuel Directeur Général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). Le scénario du blocage de la proclamation des résultats issus des urnes a commencé le lundi 7 octobre dernier. Ce jour-là, l'ex- fondateur du tristement célèbre mouvement de soutien baptisé Lansana Conté Continue (LCC), a fait irruption dans le centre de compilation des résultats de Matoto (plus grande circonscription électorale de la Guinée avec plus 500 000), en vue de bloquer la proclamation des résultats qui plaçaient, on s'en doute, l'UFR de Sydia Touré, en tête.
Le DG du CNSS est arrivé, en compagnie de plusieurs bérets rouges et a agressé plusieurs délégués de l'UFR, dont M. Babara Fofana. Tout cela dans le but de faire arrêter le décompte qui donnait largement l'UFR en tête .Pouvoir quand tu nous tiens.
Vite, un hélico pour Kaloum !
Autre cas symptomatique de la volonté d'Alpha Condé et de son RPG, de confisquer le suffrage du peuple : Kaloum. Dans cette commune administrative de la capitale guinéenne, traditionnellement acquise à la cause de Sydia Touré, la proclamation des résultats est bloquée. Le pouvoir Condé peut-il expliquer aux Guinéens et à la communauté internationale, pourquoi il est impossible de proclamer des résultats dans une circonscription de seulement 32 procès-verbaux, située à seulement 1.6 km du siège de la Ceni (sis au quartier Cameroun). Doit-on aller chercher ses résultats dans un hélicoptère, comme cela a été le cas pour N'Zérékoré, situé à plus de 1000 km ?
Décidément, la tentative de hold-up du clan Condé est mal ficelée. Et c'est une honte pour la démocratie !