La construction de la boucle ferroviaire, devant relier cinq capitales de la sous-région (Abidjan-Ouagadougou-Niamey-Cotonou-Lomé), va nécessiter un budget de mille milliards de FCFA, a-t-on appris jeudi, à l’issue d’une rencontre à Ouagadougou, entre les cinq chefs d’Etat concernés par ce projet.
Les présidents Blaise Compaoré, du Burkina Faso, Alassane Ouattara, de la Côte d’Ivoire, Mahamadou Issoufou, du Niger, Faure Essozimna Gnassingbé du Togo et Boni Yayi du Bénin, avaient échangé sur le sujet, mercredi, à la veille du sommet de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) tenu jeudi, dans la capitale burkinabè.
La séance de travail avait pour but d’affiner le projet de construction de cette boucle ferroviaire qui va quitter Abidjan (Côte d’Ivoire) pour relier Ouagadougou-Dori-(Burkina Faso)-Niamey (Niger)-Parakou-Cotonou (Bénin) et Lomé au Togo.
Le président du Faso, Blaise Compaoré, l’hôte de la rencontre et porte-parole de ses pairs, a indiqué à la presse : ‘’Nous avons échangé sur ce dossier, avec des partenaires potentiels, pour nous engager fermement à la réalisation de ce tronçon. Globalement, nous avons besoin de 1000 milliards de FCFA ‘’.
Selon le président Compaoré, il y a de l’espoir pour que le projet de construction de la boucle ferroviaire voie le jour.
’’Des partenaires sont prêts à nous accompagner. Bolloré, le Groupe Tennis, sont des partenaires intéressants pour nous ‘’, a-t-il indiqué.
Citant les raisons qui militent en faveur de la construction de la boucle ferroviaire, il a déclaré : ‘’Nous sommes très attachés à l’UEMOA et à la CEDEAO. Notre ambition, c’est de toujours pousser en avant le progrès de nos Etats, de nos populations. Il se trouve que dans cette démarche, il est essentiel, de nos jours, de fluidifier les échanges, les trafics, les mouvements des hommes et des marchandises’’.
ALK/cat/APA
Les présidents Blaise Compaoré, du Burkina Faso, Alassane Ouattara, de la Côte d’Ivoire, Mahamadou Issoufou, du Niger, Faure Essozimna Gnassingbé du Togo et Boni Yayi du Bénin, avaient échangé sur le sujet, mercredi, à la veille du sommet de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) tenu jeudi, dans la capitale burkinabè.
La séance de travail avait pour but d’affiner le projet de construction de cette boucle ferroviaire qui va quitter Abidjan (Côte d’Ivoire) pour relier Ouagadougou-Dori-(Burkina Faso)-Niamey (Niger)-Parakou-Cotonou (Bénin) et Lomé au Togo.
Le président du Faso, Blaise Compaoré, l’hôte de la rencontre et porte-parole de ses pairs, a indiqué à la presse : ‘’Nous avons échangé sur ce dossier, avec des partenaires potentiels, pour nous engager fermement à la réalisation de ce tronçon. Globalement, nous avons besoin de 1000 milliards de FCFA ‘’.
Selon le président Compaoré, il y a de l’espoir pour que le projet de construction de la boucle ferroviaire voie le jour.
’’Des partenaires sont prêts à nous accompagner. Bolloré, le Groupe Tennis, sont des partenaires intéressants pour nous ‘’, a-t-il indiqué.
Citant les raisons qui militent en faveur de la construction de la boucle ferroviaire, il a déclaré : ‘’Nous sommes très attachés à l’UEMOA et à la CEDEAO. Notre ambition, c’est de toujours pousser en avant le progrès de nos Etats, de nos populations. Il se trouve que dans cette démarche, il est essentiel, de nos jours, de fluidifier les échanges, les trafics, les mouvements des hommes et des marchandises’’.
ALK/cat/APA