La 6ème Conférence des Grandes chancelleries de l’espace francophone de l’Afrique subsaharienne s’est ouverte lundi à Niamey (Niger) où elle planche sur le rôle de la femme dans la bonne gouvernance.
Présent à l’ouverture de cette conférence selon une note d’information de la Grande chancellerie de Côte d’Ivoire transmise à APA, le président nigérien, Issoufou Mahamadou a jugé la bonne gouvernance comme un "déterminant indispensable pour toute action de développement".
Pour lui, la bonne gouvernance se mesure par "le respect des droits humains, la transparence et l’efficacité dans la gestion des affaires, la lutte contre la corruption et la promotion de la démocratie et le développement participatif et durable".
Ajoutant que le rôle de la femme, en tant qu’éducatrice, gardienne de l’ordre moral et actrice de développement, est primordial, dans ce processus de bonne gouvernance, Issoufou Mahamadou, a fait noter que "les femmes en général, sont meilleurs gestionnaires, moins enclines à la prévarication et au détournement des biens communs".
C’est pourquoi, le gouvernement nigérien a fait prendre des dispositions visant une "discrimination positive en faveur des femmes en imposant un quota de 20% dans les postes nominatifs".
‘’le parlement nigérien est en train de préparer une loi pour une participation plus accrue de la femme à la vie nationale", a-t-il poursuit.
Cette conférence va enregistrer pendant deux jours des séances plénières autour du thème central : "La bonne gouvernance dans l’espace des Grandes Chancelleries de l’Afrique francophone subsaharienne et de la France : le rôle de la Femme’’.
Deux communications ont été faites au cours de la première journée notamment celle prononcée par Dr Aïssatou Kindo sur le sous-thème, "femme et stabilité sociale", et celle du Dr Issouf Yahaya sur le sous-thème, "Femme et stabilité économique".
Convaincus dans leurs argumentaires que " la femme est la clé de voûte de toute structure sociale" en citant la Grande Chancelière de Côte d’Ivoire, Henriette Dagri Diabaté, ils ont tous les deux, démontré à travers l’histoire et les faits contemporains, en Afrique comme ailleurs dans le monde, "que les femmes ont joué un rôle primordial dans le développement des Nations aussi bien au plan politique, social qu’économique".
JBK/ls/APA
Présent à l’ouverture de cette conférence selon une note d’information de la Grande chancellerie de Côte d’Ivoire transmise à APA, le président nigérien, Issoufou Mahamadou a jugé la bonne gouvernance comme un "déterminant indispensable pour toute action de développement".
Pour lui, la bonne gouvernance se mesure par "le respect des droits humains, la transparence et l’efficacité dans la gestion des affaires, la lutte contre la corruption et la promotion de la démocratie et le développement participatif et durable".
Ajoutant que le rôle de la femme, en tant qu’éducatrice, gardienne de l’ordre moral et actrice de développement, est primordial, dans ce processus de bonne gouvernance, Issoufou Mahamadou, a fait noter que "les femmes en général, sont meilleurs gestionnaires, moins enclines à la prévarication et au détournement des biens communs".
C’est pourquoi, le gouvernement nigérien a fait prendre des dispositions visant une "discrimination positive en faveur des femmes en imposant un quota de 20% dans les postes nominatifs".
‘’le parlement nigérien est en train de préparer une loi pour une participation plus accrue de la femme à la vie nationale", a-t-il poursuit.
Cette conférence va enregistrer pendant deux jours des séances plénières autour du thème central : "La bonne gouvernance dans l’espace des Grandes Chancelleries de l’Afrique francophone subsaharienne et de la France : le rôle de la Femme’’.
Deux communications ont été faites au cours de la première journée notamment celle prononcée par Dr Aïssatou Kindo sur le sous-thème, "femme et stabilité sociale", et celle du Dr Issouf Yahaya sur le sous-thème, "Femme et stabilité économique".
Convaincus dans leurs argumentaires que " la femme est la clé de voûte de toute structure sociale" en citant la Grande Chancelière de Côte d’Ivoire, Henriette Dagri Diabaté, ils ont tous les deux, démontré à travers l’histoire et les faits contemporains, en Afrique comme ailleurs dans le monde, "que les femmes ont joué un rôle primordial dans le développement des Nations aussi bien au plan politique, social qu’économique".
JBK/ls/APA