Abidjan – Les chambres consulaires nationales de l’union monétaire ouest-africaine (Uemoa) ont été invitées à entreprendre des actions pour renforcer leurs capacités sur le partenariat public-privé afin de mieux accompagner les populations.
S’exprimant, mercredi, à l’ouverture d’un séminaire d’appropriation des reformes de l’Uemoa à l’intention des directeurs et secrétaires généraux des chambres consulaires nationales et organisations patronales des Etats membres, le représentant résident de la commission à Abidjan, Cheick N’Dir a indiqué que la promotion du partenariat public-privé est une approche peu développée dans l’espace Uemoa.
« En votre qualité de premiers responsables des chambres consulaires et des organisations patronales, vous avez un rôle important à jouer pour l’information et la sensibilisation des acteurs privés », a-t-il conseillé.
Il a surtout relevé que la promotion des PPP requiert une bonne information et une formation des acteurs publics et privés afin qu’ils tirent meilleure partie des opportunités offertes par ce mode alternatif de financement des investissements.
Les PPP qui, selon lui, est l’une des priorités de la commission, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’une des diligences de la 16è session de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, tenue à Lomé au Togo, le 06 juin 2012.
A l’occasion, les chefs d’Etat et de gouvernement ont instruit la commission « d’instaurer une nouvelle forme de gouvernance axée sur le PPP et sur les réformes structurantes destinées à l’amélioration du financement de l’économie », a-t-il rappelé.
Pour l’année 2014, le département du développement de l’entreprise, de l’énergie, des télécommunications et du tourisme de la commission s’est fixé comme actions prioritaires en plus des PPP, l’amélioration du climat des affaires et la promotion des PME-PMI.
(Aip)
kkf/nf
S’exprimant, mercredi, à l’ouverture d’un séminaire d’appropriation des reformes de l’Uemoa à l’intention des directeurs et secrétaires généraux des chambres consulaires nationales et organisations patronales des Etats membres, le représentant résident de la commission à Abidjan, Cheick N’Dir a indiqué que la promotion du partenariat public-privé est une approche peu développée dans l’espace Uemoa.
« En votre qualité de premiers responsables des chambres consulaires et des organisations patronales, vous avez un rôle important à jouer pour l’information et la sensibilisation des acteurs privés », a-t-il conseillé.
Il a surtout relevé que la promotion des PPP requiert une bonne information et une formation des acteurs publics et privés afin qu’ils tirent meilleure partie des opportunités offertes par ce mode alternatif de financement des investissements.
Les PPP qui, selon lui, est l’une des priorités de la commission, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’une des diligences de la 16è session de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, tenue à Lomé au Togo, le 06 juin 2012.
A l’occasion, les chefs d’Etat et de gouvernement ont instruit la commission « d’instaurer une nouvelle forme de gouvernance axée sur le PPP et sur les réformes structurantes destinées à l’amélioration du financement de l’économie », a-t-il rappelé.
Pour l’année 2014, le département du développement de l’entreprise, de l’énergie, des télécommunications et du tourisme de la commission s’est fixé comme actions prioritaires en plus des PPP, l’amélioration du climat des affaires et la promotion des PME-PMI.
(Aip)
kkf/nf
