Agboville - La mesure de redéploiement des enseignants qui avait fait l'objet d'arrêt de travail mardi à Agboville, a été officiellement reportée à 2014, sauf celle concernant les mutations vers des établissements dans la même ville, a annoncé l'Inspecteur général Kourouma Ibrahima, coordonnateur général, Inspection général du Ministère de l'Education Nationale et de l'Enseignement Technique, mercredi, lors d'une rencontre publique à Agboville.
Sureffectif ou pas, aucun enseignant ne sortira de la ville d'Agboville en 2013 », a tranché, le coordonnateur général, qui a indiqué que ce message émane de Mme la ministre de l'Education Nationale Kandia Camara, en personne.
"Je voudrais qu'Agboville comprenne que l'acte de redéploiement ne peut pas être annulé et que c'est dans son application que nous allons lui donner un visage humain", a affirmé l'Inspecteur général. Il a à cet effet annoncé quatre décisions importantes, devant favoriser l'application de la mesure.
"Nous allons appliquer la décision en veillant à ce que personne ne soit muté en dehors de sa localité pour cette année", a d'abord fait savoir l'Inspecteur général, venu à la tête d'une importante délégation, échanger avec plusieurs centaines d'enseignants de la ville, réunis dans la salle des professeurs du Lycée 1 d'Agboville.
Il a ensuite indiqué que chaque chef d'établissement devra établir la liste des enseignants en sureffectif et communiquer le document au Directeur des Ressources Humaines. Les enseignants en sureffectifs seront sensibilisés à choisir parmi les postes vacants qui leur seront proposés, pour le compte de l'année scolaire 2014-2015. Les futurs établissements à construire, seront aussi pris en compte et proposés aux enseignants.
En mai 2014, "chacun devra connaître son établissement d'accueil", a assuré le chef de délégation. Enfin, la quatrième mesure concerne la création des commissions nationales et régionales, pour réguler les discriminations, circonscrire les plaintes et éviter les règlements de comptes.
Les membres des syndicats d'enseignants feront partie des différentes commissions, a dit le chef de délégation, qui a annoncé que les commissions devraient commencer à travailler incessamment. Les enseignants à qui il n'avait pas été attribué d'emploi de temps ou qui avaient vu ce document leur être retiré, seront remis au travail, avec un emploi du temps à l'appui, a affirmé le coordonnateur Kourouma.
"C'est une délégation louable", a fait savoir les membres du bureau syndicat national de l'Enseignement secondaire (Synesci), section Agboville, qui ont bénéficié de l'appui du bureau national dudit syndicat.
(Aip)
dd/nf
Sureffectif ou pas, aucun enseignant ne sortira de la ville d'Agboville en 2013 », a tranché, le coordonnateur général, qui a indiqué que ce message émane de Mme la ministre de l'Education Nationale Kandia Camara, en personne.
"Je voudrais qu'Agboville comprenne que l'acte de redéploiement ne peut pas être annulé et que c'est dans son application que nous allons lui donner un visage humain", a affirmé l'Inspecteur général. Il a à cet effet annoncé quatre décisions importantes, devant favoriser l'application de la mesure.
"Nous allons appliquer la décision en veillant à ce que personne ne soit muté en dehors de sa localité pour cette année", a d'abord fait savoir l'Inspecteur général, venu à la tête d'une importante délégation, échanger avec plusieurs centaines d'enseignants de la ville, réunis dans la salle des professeurs du Lycée 1 d'Agboville.
Il a ensuite indiqué que chaque chef d'établissement devra établir la liste des enseignants en sureffectif et communiquer le document au Directeur des Ressources Humaines. Les enseignants en sureffectifs seront sensibilisés à choisir parmi les postes vacants qui leur seront proposés, pour le compte de l'année scolaire 2014-2015. Les futurs établissements à construire, seront aussi pris en compte et proposés aux enseignants.
En mai 2014, "chacun devra connaître son établissement d'accueil", a assuré le chef de délégation. Enfin, la quatrième mesure concerne la création des commissions nationales et régionales, pour réguler les discriminations, circonscrire les plaintes et éviter les règlements de comptes.
Les membres des syndicats d'enseignants feront partie des différentes commissions, a dit le chef de délégation, qui a annoncé que les commissions devraient commencer à travailler incessamment. Les enseignants à qui il n'avait pas été attribué d'emploi de temps ou qui avaient vu ce document leur être retiré, seront remis au travail, avec un emploi du temps à l'appui, a affirmé le coordonnateur Kourouma.
"C'est une délégation louable", a fait savoir les membres du bureau syndicat national de l'Enseignement secondaire (Synesci), section Agboville, qui ont bénéficié de l'appui du bureau national dudit syndicat.
(Aip)
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