Abidjan– Le directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire, Emmanuel Essis Esmel a rencontré, mardi, les élus locaux en vue de leur présenter le Forum investir en Côte d’Ivoire (ICI 2014) et solliciter leur implication.
Le Forum ICI 2014 est prévu du 29 janvier au 1er février 2014 à Abidjan, avec plus de 1500 investisseurs attendus.
Le directeur général du CEPICI a battu en brèche l’information visant à faire de son institution un instrument conçu pour l’étranger ou pour l’international. « Nous sommes d’abord pour le national parce que l’investissement c’est d’abord national, l’international vient apporter l’expertise mais il doit être d’abord national », a-t-il insisté.
M. Essis a assuré que ce forum est une occasion pour promouvoir les potentialités nationales et régionales à travers des projets d’investissement et des stands, afin de tirer profit des investisseurs privés et des fonds d’investissement qui seront présents.
Selon lui, ce sera également pour les maires, présidents de conseils régionaux et gouverneurs de district de promouvoir leur Etat, de commercialiser leur commun et leur région et de s’ouvrir à l’international pour mieux intégrer les efforts de développement déjà programmés.
« Nous attendons des différentes régions qu’on puisse avoir des projets et commencer à les proposer de sorte que les investisseurs qui sont intéressés prennent contact avec vous pour commencer les négociations pour pouvoir signer des contrats », a-t-il relevé.
Il a encouragé les élus locaux à prendre des stands pour plus de visibilité tout en leur proposant de désigner des personnes ressources pour intégrer les différents panels lors du forum.
ICI 2014 va se dérouler en quatre grandes activités dont la bourse-projets que le DG du CEPICI a estimé très important pour les collectivités. « C’est une bourse à laquelle viendront ceux qui ont des projets, ceux qui cherchent des projets à financer, viendront les investisseurs à la recherche de partenaires ou ceux qui recherchent des autorisations administratives ou des baux administratifs », a-t-il soutenu.
« Quand on parle de projets, ce ne sont pas forcément des projets de centaines de milliards », a rassuré M. Essis qui a indiqué que ce sont des petits projets, privés innovantes qui vont créer de l’emploi dans les régions.
Le directeur du CEPICI a surtout précisé que les rencontres d’affaires (B to B) donneront l’occasion aux collectivités inscrites sur le site de pouvoir accéder à l’ensemble des 1000 participants qui sont attendus en Côte d’Ivoire de sorte de pouvoir identifier ceux des partenaires qui leur intéresse afin de programmer des rencontres.
Les élus locaux venus de différentes régions du pays ont exprimé leur intérêt pour le forum, tout en notant certaines difficultés financières et de formation en matière de montage de projets.
kkf/cmas
Le Forum ICI 2014 est prévu du 29 janvier au 1er février 2014 à Abidjan, avec plus de 1500 investisseurs attendus.
Le directeur général du CEPICI a battu en brèche l’information visant à faire de son institution un instrument conçu pour l’étranger ou pour l’international. « Nous sommes d’abord pour le national parce que l’investissement c’est d’abord national, l’international vient apporter l’expertise mais il doit être d’abord national », a-t-il insisté.
M. Essis a assuré que ce forum est une occasion pour promouvoir les potentialités nationales et régionales à travers des projets d’investissement et des stands, afin de tirer profit des investisseurs privés et des fonds d’investissement qui seront présents.
Selon lui, ce sera également pour les maires, présidents de conseils régionaux et gouverneurs de district de promouvoir leur Etat, de commercialiser leur commun et leur région et de s’ouvrir à l’international pour mieux intégrer les efforts de développement déjà programmés.
« Nous attendons des différentes régions qu’on puisse avoir des projets et commencer à les proposer de sorte que les investisseurs qui sont intéressés prennent contact avec vous pour commencer les négociations pour pouvoir signer des contrats », a-t-il relevé.
Il a encouragé les élus locaux à prendre des stands pour plus de visibilité tout en leur proposant de désigner des personnes ressources pour intégrer les différents panels lors du forum.
ICI 2014 va se dérouler en quatre grandes activités dont la bourse-projets que le DG du CEPICI a estimé très important pour les collectivités. « C’est une bourse à laquelle viendront ceux qui ont des projets, ceux qui cherchent des projets à financer, viendront les investisseurs à la recherche de partenaires ou ceux qui recherchent des autorisations administratives ou des baux administratifs », a-t-il soutenu.
« Quand on parle de projets, ce ne sont pas forcément des projets de centaines de milliards », a rassuré M. Essis qui a indiqué que ce sont des petits projets, privés innovantes qui vont créer de l’emploi dans les régions.
Le directeur du CEPICI a surtout précisé que les rencontres d’affaires (B to B) donneront l’occasion aux collectivités inscrites sur le site de pouvoir accéder à l’ensemble des 1000 participants qui sont attendus en Côte d’Ivoire de sorte de pouvoir identifier ceux des partenaires qui leur intéresse afin de programmer des rencontres.
Les élus locaux venus de différentes régions du pays ont exprimé leur intérêt pour le forum, tout en notant certaines difficultés financières et de formation en matière de montage de projets.
kkf/cmas