Bongouanou - Un planteur de 53 ans s’est donné la mort, en se tirant une balle dans la poitrine, lundi, à Bocassi, dans département de Bongouanou (est, région du Moronou), afin de mettre fin à la souffrance que lui infligeait la maladie depuis quelque temps.
Aka N’Goran martin souffrait, selon le chef de service des urgences chirurgicales de l’Hôpital général de Bongouanou, N’Goran Evariste, d’une rétention aigue d’urine occasionnée par un traumatisme mal traité.
"Il avait été admis au service de chirurgie de l’hôpital au début du mois. Une première intervention avait permis de réaliser une cystostomie (ablation totale ou partielle de la vessie), afin de lui permettre d’évacuer ses urines", ajoute le médecin.
C’est dans l’attente des examens complémentaires relatifs à la présence de caillots de sang dans ses urines, que le malade qui se plaignait de douleurs s’est enfui nuitamment de l’hôpital, dimanche, avec l’aide de ses parents, a-t-on appris.
Une fois au village, le malheureux s’est enfermé dans sa chambre, simulant le repos, avant de s’ouvrir la poitrine à l’aide de son fusil. L’infortuné, précise-t-on, est mort avant l’arrivé de ses parents réveillés par la détonation aux environs de 4 heures du matin.
(AIP)
Hk/tad/kkp/kam
Aka N’Goran martin souffrait, selon le chef de service des urgences chirurgicales de l’Hôpital général de Bongouanou, N’Goran Evariste, d’une rétention aigue d’urine occasionnée par un traumatisme mal traité.
"Il avait été admis au service de chirurgie de l’hôpital au début du mois. Une première intervention avait permis de réaliser une cystostomie (ablation totale ou partielle de la vessie), afin de lui permettre d’évacuer ses urines", ajoute le médecin.
C’est dans l’attente des examens complémentaires relatifs à la présence de caillots de sang dans ses urines, que le malade qui se plaignait de douleurs s’est enfui nuitamment de l’hôpital, dimanche, avec l’aide de ses parents, a-t-on appris.
Une fois au village, le malheureux s’est enfermé dans sa chambre, simulant le repos, avant de s’ouvrir la poitrine à l’aide de son fusil. L’infortuné, précise-t-on, est mort avant l’arrivé de ses parents réveillés par la détonation aux environs de 4 heures du matin.
(AIP)
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