De plus en plus, le phénomène de l’homosexualité sévit dans le milieu artistique ivoirien.
La vie des artistes a certainement un attrait sur leurs fans. Comme on le dit souvent : «Quand ton ami ne te dit pas la vérité, alors paye ton ennemi pour qu’il te le dise en face». C’est un devoir pour nous de tirer la sonnette d’alarme sur ces comportements déviants qui détruisent les artistes, leur réputation et qui partant, ont une incidence négative sur notre société. Aujourd’hui, force est de reconnaître que certains de nos artistes ne constituent plus des références en tant que telles. Les effets de ces orientations perverses donnent, aujourd’hui, que l'homosexualité n'est plus un sujet tabou et est même devenu une pratique à la limite banale, même si cela se conjugue encore dans la discrétion. Et cela est surtout observé dans le monde artistique et culturel. Sous toutes les formes, l'homosexualité est présente dans les œuvres et créations des artistes. Ces œuvres sont une manœuvre pour amener à une acceptation dans la tolérance de cette pratique. La rumeur Abidjanaise avait vite fait de révéler l’homosexualité de l’artiste Meiway. Plusieurs années après, le promoteur du Zoblazo a fini par avouer une aventure homosexuelle. Il y a d’autres noms qui ont été aussi cités, tels que Dj Rodrigue, Shannaka Yakuza, DJ Bonano, Lino Versace qui , lui, a fait des aveux dans un magazine people, et même exprimé sa fierté d’être homosexuel et qu’il assume. Cela lui a causé la rupture avec sa petite amie, une sénégalaise vivant à Paris. Cette affaire avait, en son temps, créé l’émoi. Selon nos investigations, ils sont encore nombreux, les artistes ivoiriens qui flirtent avec le fameux « club rouge ». Ces mêmes rumeurs font état de ce que Eric Patron, du mythique groupe zouglou, les « Patrons », avait fait le buzz sur sa probable homosexualité. Il s’affichait après la sortie de leur 2ème album à succès avec de grosses cylindrés et un train de vie suspect. Cela lui a valu, on se le rappelle, un clash entre son « vieux-père » Yodé du duo de choc Yodé et Siro, qui a accusé son « bon petit » de ne pas travailler à la sueur de son front, mais plutôt de le faire à la sueur de ses F…. On se souvient également de la sortie des 2 DJ (Arafat et Dicaprio). L’un accusait l’autre d’être atteint du SIDA, quand l’autre traitait son accusateur d’homosexuel pédé et de surcroit, le pratiquait avec une personnalité bien connue…Intox où vérité ?
Effet de pauvreté…
Les enquêtes menées pour comprendre ces déviations, nous ont donnés quelques éléments. Les artistes dans leur grande proportion, vivent dans des conditions grégaires. Ils sont alors tentés par tout ce qui peut leur permettre de s’en sortir. Les choix, à ce moment-là, ne se font plus. Et c’est très souvent qu’on les retrouve dans les milieux de la dépravation. L’essentiel pour eux, étant de se faire une place au soleil. Le choix tout trouvé, comme une panacée, est l’homosexualité, dont la pratique, donnant dans le mysticisme, produirait la gloire. Ainsi, ils se font entretenir par des gourous qui les « sautent », pour avoir maison, voitures, production d’album et tous les privilèges qui suivent. D’autres deviennent carrément des gigolos, pour avoir les faveurs de femmes en manque d’affection et de chaleur au lit. On observe cette réalité dans le milieu des Dj et certains Zouglouman. Les artistes féminins, n’ayant pas encore adhéré à certaines des pratiques, telles que le saphisme(Lesbianisme), se livreraient à des « boss » pour avoir leur salut. Comme la tranche de jeunes filles, elles s’attachent aux personnalités politiques ou gros bonnets des affaires, pour se voir tout offrir. Elles subiraient tous supplices sexuels pour de fortes sommes d’argent et des gros contrats de prestations. Certaines vont jusqu’à se faire uriner, déféquer dessus ou faire des partouzes. Rien que pour des billets « croustillants » de banque.
I.L
La vie des artistes a certainement un attrait sur leurs fans. Comme on le dit souvent : «Quand ton ami ne te dit pas la vérité, alors paye ton ennemi pour qu’il te le dise en face». C’est un devoir pour nous de tirer la sonnette d’alarme sur ces comportements déviants qui détruisent les artistes, leur réputation et qui partant, ont une incidence négative sur notre société. Aujourd’hui, force est de reconnaître que certains de nos artistes ne constituent plus des références en tant que telles. Les effets de ces orientations perverses donnent, aujourd’hui, que l'homosexualité n'est plus un sujet tabou et est même devenu une pratique à la limite banale, même si cela se conjugue encore dans la discrétion. Et cela est surtout observé dans le monde artistique et culturel. Sous toutes les formes, l'homosexualité est présente dans les œuvres et créations des artistes. Ces œuvres sont une manœuvre pour amener à une acceptation dans la tolérance de cette pratique. La rumeur Abidjanaise avait vite fait de révéler l’homosexualité de l’artiste Meiway. Plusieurs années après, le promoteur du Zoblazo a fini par avouer une aventure homosexuelle. Il y a d’autres noms qui ont été aussi cités, tels que Dj Rodrigue, Shannaka Yakuza, DJ Bonano, Lino Versace qui , lui, a fait des aveux dans un magazine people, et même exprimé sa fierté d’être homosexuel et qu’il assume. Cela lui a causé la rupture avec sa petite amie, une sénégalaise vivant à Paris. Cette affaire avait, en son temps, créé l’émoi. Selon nos investigations, ils sont encore nombreux, les artistes ivoiriens qui flirtent avec le fameux « club rouge ». Ces mêmes rumeurs font état de ce que Eric Patron, du mythique groupe zouglou, les « Patrons », avait fait le buzz sur sa probable homosexualité. Il s’affichait après la sortie de leur 2ème album à succès avec de grosses cylindrés et un train de vie suspect. Cela lui a valu, on se le rappelle, un clash entre son « vieux-père » Yodé du duo de choc Yodé et Siro, qui a accusé son « bon petit » de ne pas travailler à la sueur de son front, mais plutôt de le faire à la sueur de ses F…. On se souvient également de la sortie des 2 DJ (Arafat et Dicaprio). L’un accusait l’autre d’être atteint du SIDA, quand l’autre traitait son accusateur d’homosexuel pédé et de surcroit, le pratiquait avec une personnalité bien connue…Intox où vérité ?
Effet de pauvreté…
Les enquêtes menées pour comprendre ces déviations, nous ont donnés quelques éléments. Les artistes dans leur grande proportion, vivent dans des conditions grégaires. Ils sont alors tentés par tout ce qui peut leur permettre de s’en sortir. Les choix, à ce moment-là, ne se font plus. Et c’est très souvent qu’on les retrouve dans les milieux de la dépravation. L’essentiel pour eux, étant de se faire une place au soleil. Le choix tout trouvé, comme une panacée, est l’homosexualité, dont la pratique, donnant dans le mysticisme, produirait la gloire. Ainsi, ils se font entretenir par des gourous qui les « sautent », pour avoir maison, voitures, production d’album et tous les privilèges qui suivent. D’autres deviennent carrément des gigolos, pour avoir les faveurs de femmes en manque d’affection et de chaleur au lit. On observe cette réalité dans le milieu des Dj et certains Zouglouman. Les artistes féminins, n’ayant pas encore adhéré à certaines des pratiques, telles que le saphisme(Lesbianisme), se livreraient à des « boss » pour avoir leur salut. Comme la tranche de jeunes filles, elles s’attachent aux personnalités politiques ou gros bonnets des affaires, pour se voir tout offrir. Elles subiraient tous supplices sexuels pour de fortes sommes d’argent et des gros contrats de prestations. Certaines vont jusqu’à se faire uriner, déféquer dessus ou faire des partouzes. Rien que pour des billets « croustillants » de banque.
I.L