Abidjan - Cinq militaires qui s’étaient exilés, après la chute de l’ex-président Laurent Gbagbo, ont regagné, depuis vendredi, leur pays, indique un communiqué du Ministère auprès de la Présidence de la République, chargé de la Défense.
Selon le communiqué dont l’AIP a reçu copie, samedi, ces militaires sont rentrés sur le territoire ivoirien en compagnie de l'Ambassadeur en poste au Togo, par avion, tandis que leurs familles l’ont été par la route, accompagnées par les représentants du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR).
Ces militaires, souligne le communiqué, répondent ainsi positivement à la main tendue du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui a lancé, à nouveau, depuis mercredi, à tous les exilés de rentrer au pays pour apporter leur pierre à la construction du pays.
Dans le communiqué du Conseil des ministres, tenu mercredi, le gouvernement ivoirien a réitéré que la date du 30 novembre initialement fixée comme délai de rigueur est confirmée, et que les militaires qui n’auront pas déféré jusqu’à cette date, seront « radiés des effectifs des armées, de la police et de la gendarmerie, ainsi que des autres paramilitaires, et passibles en cour martiale pour « désertion et violation de consignes ».
(AIP)
fmo/nf
Selon le communiqué dont l’AIP a reçu copie, samedi, ces militaires sont rentrés sur le territoire ivoirien en compagnie de l'Ambassadeur en poste au Togo, par avion, tandis que leurs familles l’ont été par la route, accompagnées par les représentants du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR).
Ces militaires, souligne le communiqué, répondent ainsi positivement à la main tendue du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui a lancé, à nouveau, depuis mercredi, à tous les exilés de rentrer au pays pour apporter leur pierre à la construction du pays.
Dans le communiqué du Conseil des ministres, tenu mercredi, le gouvernement ivoirien a réitéré que la date du 30 novembre initialement fixée comme délai de rigueur est confirmée, et que les militaires qui n’auront pas déféré jusqu’à cette date, seront « radiés des effectifs des armées, de la police et de la gendarmerie, ainsi que des autres paramilitaires, et passibles en cour martiale pour « désertion et violation de consignes ».
(AIP)
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