Le Président ivoirien, Alassane Ouattara a soutenu mercredi à Paris que « l’Afrique sera sans aucun doute le prochain continent émergent dans le monde ».
Pour M. Ouattara qui s’exprimait au cours d’une conférence entre la France et le continent sur « un nouveau modèle économique », a indiqué dans son allocution transmise à APA par ses services que le continent africain « est en train de réussir son décollage économique ».
« Notre continent, qui représente aujourd’hui 4 % de la richesse mondiale, pèsera 7 % en 2030 et 12 % en 2050 », a-t-il expliqué en soulignant que ces objectifs seront atteints grâce aux facteurs « de stabilité politique, de bonne gouvernance, de démocratie avec l’alternance par les urnes et la consolidation progressive des Institutions ».
En économiste chevronné, le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, par ailleurs ancien Directeur général adjoint du Fond monétaire international (FMI) a fait noter que « ces dix dernières années, la croissance économique en Afrique a été supérieure à celle de tous les continents, à l’exception de l’Asie ».
« Six des dix pays affichant les taux de croissance les plus élevés au monde se trouvent en Afrique », a révélé M. Ouattara. Il s’agit notamment la Côte d’Ivoire dont le taux de croissance était de « 9,8 % en 2012, 9 % estimé cette année, et 10% en moyenne en 2014-2015 ».
C’est pourquoi, le Chef de l’Etat ivoirien a salué la France pour le rôle prépondérant joué à cet effet. « Mon pays salue la volonté de la France de renforcer sa contribution au décollage de l’Afrique et de l’Afrique Francophone en particulier », s’est félicité Alassane Ouattara.
Il a également souligné que l’évolution positive des économies africaines est aussi « le résultat d’un cadre macroéconomique et d’une dette publique jugés soutenables dans bon nombre de pays par le FMI et la Banque Mondiale, ainsi que d’un climat des affaires favorable à l’investissement privé ».
Tout en se félicitant de la volonté de la France « de renforcer, de moderniser et d’équilibrer sa relation d’échange et d’investissement avec ses partenaires africains », Alassane Ouattara a conclu en affirmant que « l’Afrique a autant besoin de la France que la France a besoin de l’Afrique pour construire un monde plus juste, plus équitable et plus fraternel ».
JBK/ls/APA
Pour M. Ouattara qui s’exprimait au cours d’une conférence entre la France et le continent sur « un nouveau modèle économique », a indiqué dans son allocution transmise à APA par ses services que le continent africain « est en train de réussir son décollage économique ».
« Notre continent, qui représente aujourd’hui 4 % de la richesse mondiale, pèsera 7 % en 2030 et 12 % en 2050 », a-t-il expliqué en soulignant que ces objectifs seront atteints grâce aux facteurs « de stabilité politique, de bonne gouvernance, de démocratie avec l’alternance par les urnes et la consolidation progressive des Institutions ».
En économiste chevronné, le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, par ailleurs ancien Directeur général adjoint du Fond monétaire international (FMI) a fait noter que « ces dix dernières années, la croissance économique en Afrique a été supérieure à celle de tous les continents, à l’exception de l’Asie ».
« Six des dix pays affichant les taux de croissance les plus élevés au monde se trouvent en Afrique », a révélé M. Ouattara. Il s’agit notamment la Côte d’Ivoire dont le taux de croissance était de « 9,8 % en 2012, 9 % estimé cette année, et 10% en moyenne en 2014-2015 ».
C’est pourquoi, le Chef de l’Etat ivoirien a salué la France pour le rôle prépondérant joué à cet effet. « Mon pays salue la volonté de la France de renforcer sa contribution au décollage de l’Afrique et de l’Afrique Francophone en particulier », s’est félicité Alassane Ouattara.
Il a également souligné que l’évolution positive des économies africaines est aussi « le résultat d’un cadre macroéconomique et d’une dette publique jugés soutenables dans bon nombre de pays par le FMI et la Banque Mondiale, ainsi que d’un climat des affaires favorable à l’investissement privé ».
Tout en se félicitant de la volonté de la France « de renforcer, de moderniser et d’équilibrer sa relation d’échange et d’investissement avec ses partenaires africains », Alassane Ouattara a conclu en affirmant que « l’Afrique a autant besoin de la France que la France a besoin de l’Afrique pour construire un monde plus juste, plus équitable et plus fraternel ».
JBK/ls/APA
