Bouaflé – Des instituteurs d’Iribafla et Bantifla renforcent leurs capacités du 05 au 06 décembre à Bonon (à 30 km de Bouaflé) sur la lutte contre le travail des enfants dans la cacao culture, à l’issue d’un atelier de formation initié par le Bureau international du travail (BIT).
Il s’agit, selon les organisateurs, de mettre l’accent sur les conséquences du travail des enfants sur leur santé, l’éducation comme moyen de lutte contre le travail des enfants et enfin expliquer le système de surveillance du travail des enfants dans le projet Partenariat Public Privé (PPP).
« Si vous voyez un enfant qui se dirige au champ au lieu d’aller à l’école vous devez vous plaindre au chef du village ou à la sous-préfecture pour qu’on puisse corriger cela », a fait savoir le sous-préfet de Bonon, Yapi Guillaume, comptant sur la disponibilité des instituteurs dans la lutte contre le travail des enfants.
Plusieurs thèmes seront abordés au cours du séminaire notamment les concepts clés sur le travail des enfants, l’importance de l’éducation comme alternative au travail des enfants et la santé et la sécurité au travail.
A cet effet, l’un des formateurs, Dr Kouassi Maurice a relevé les dangers liés au travail des enfants à savoir l’épandage des produits phytosanitaires, l’abattage des arbres et le port des charges lourdes.
Selon un rapport du programme international pour l’abolition du travail des enfants (IPEC) publié en 2010, plus de 200 millions d’enfants dans le monde sont des travailleurs dont 115 millions impliqués dans le travail dangereux.
En Côte d’Ivoire, 1.622.140 enfants travailleurs ont été recensés, selon une étude sur les pires formes de travail des enfants validée en 2013.
(AIP)
zaar/cmas
Il s’agit, selon les organisateurs, de mettre l’accent sur les conséquences du travail des enfants sur leur santé, l’éducation comme moyen de lutte contre le travail des enfants et enfin expliquer le système de surveillance du travail des enfants dans le projet Partenariat Public Privé (PPP).
« Si vous voyez un enfant qui se dirige au champ au lieu d’aller à l’école vous devez vous plaindre au chef du village ou à la sous-préfecture pour qu’on puisse corriger cela », a fait savoir le sous-préfet de Bonon, Yapi Guillaume, comptant sur la disponibilité des instituteurs dans la lutte contre le travail des enfants.
Plusieurs thèmes seront abordés au cours du séminaire notamment les concepts clés sur le travail des enfants, l’importance de l’éducation comme alternative au travail des enfants et la santé et la sécurité au travail.
A cet effet, l’un des formateurs, Dr Kouassi Maurice a relevé les dangers liés au travail des enfants à savoir l’épandage des produits phytosanitaires, l’abattage des arbres et le port des charges lourdes.
Selon un rapport du programme international pour l’abolition du travail des enfants (IPEC) publié en 2010, plus de 200 millions d’enfants dans le monde sont des travailleurs dont 115 millions impliqués dans le travail dangereux.
En Côte d’Ivoire, 1.622.140 enfants travailleurs ont été recensés, selon une étude sur les pires formes de travail des enfants validée en 2013.
(AIP)
zaar/cmas