A l'occasion de sa troisième session ordinaire, le président par intérim du conseil régional de Bouaflé, Aby Koffi Richmond, a appelé, jeudi, les conseillers régionaux à la recherche de la cohésion.
"Vous êtes appelés à jouer un rôle de développement, mais cela ne peut se faire que s'il règne une cohésion entre vous", a-t-il affirmé en présence des autorités administratives et la chefferie traditionnelle locale.
M. Aby Richmond a souhaité partager avec les conseillers les valeurs essentielles du progrès, à savoir l'esprit d'équipe, de famille et de solidarité, la culture du résultat, le sens des responsabilités, l'humilité, la tolérance et l'effort collectif dans la courtoisie.
"Tout ceci n'est possible que dans un environnement de paix et de réconciliation", a-t-il souligné, invitant les conseillers régionaux à arrêter collectivement des bonnes décisions en évitant de faire marche arrière.
Le président a profité de la session pour énumérer les difficultés qui empêchent le bon fonctionnement de l'ensemble des conseils régionaux, notamment les changements des critères d'élaboration de budget, le transfert de compétences aux collectivités territoriales sans transfert d'autonomie financière et la longue attente des décisions du gouvernement relatives aux personnels des ex-conseils généraux.
"C'est à cause de toutes ces difficultés que vous ne sentez pas pour l'instant la présence du conseil régional sur le terrain", a-t-il fait savoir, soulignant que l'espoir est permis, compte du fait que les dispositions idoines sont en train d'être prises pour que les investissements d'urgence débutent incessamment.
Pendant cette session ordinaire, 34 conseillers étaient présents sur les 45 que compte le conseil régional.
Zaar/kp
"Vous êtes appelés à jouer un rôle de développement, mais cela ne peut se faire que s'il règne une cohésion entre vous", a-t-il affirmé en présence des autorités administratives et la chefferie traditionnelle locale.
M. Aby Richmond a souhaité partager avec les conseillers les valeurs essentielles du progrès, à savoir l'esprit d'équipe, de famille et de solidarité, la culture du résultat, le sens des responsabilités, l'humilité, la tolérance et l'effort collectif dans la courtoisie.
"Tout ceci n'est possible que dans un environnement de paix et de réconciliation", a-t-il souligné, invitant les conseillers régionaux à arrêter collectivement des bonnes décisions en évitant de faire marche arrière.
Le président a profité de la session pour énumérer les difficultés qui empêchent le bon fonctionnement de l'ensemble des conseils régionaux, notamment les changements des critères d'élaboration de budget, le transfert de compétences aux collectivités territoriales sans transfert d'autonomie financière et la longue attente des décisions du gouvernement relatives aux personnels des ex-conseils généraux.
"C'est à cause de toutes ces difficultés que vous ne sentez pas pour l'instant la présence du conseil régional sur le terrain", a-t-il fait savoir, soulignant que l'espoir est permis, compte du fait que les dispositions idoines sont en train d'être prises pour que les investissements d'urgence débutent incessamment.
Pendant cette session ordinaire, 34 conseillers étaient présents sur les 45 que compte le conseil régional.
Zaar/kp