Fekessédougou – Le chef des services des impôts de Ferkessédougou, Traoré Ibrahim, a invité, lundi, les collectivités locales à s’impliquer dans la sensibilisation des populations sur l’impôt foncier pour une optimisation des recettes en 2014, a appris l’AIP lors d’un entretien qui a porté sur le bilan de l’année en matière de fiscalité.
« Il y a eu une nette amélioration des recettes en 2013 par rapport à 2012, mais il nous faut axer nos efforts sur la sensibilisation des populations pour faire mieux en 2014 », a déclaré M. Traoré, qui n’a pas donné de chiffre sur les recettes recouvrées, indiquant toutefois « un bilan positif qui aurait pu être plus reluisant si les populations dans leur majorité ne manquaient pas de culture fiscale ».
« Au niveau des personnes morales, il n’y a pas de problème majeur. Ce sont plutôt les particuliers qui nous font des difficultés malgré les nombreuses séances de sensibilisation dans les lieux de culte, sur les antennes de la radio de proximité et les conférences publiques au centre polyvalent », a-t-il expliqué.
Traoré Ibrahim dit vouloir continuer la sensibilisation, mais souligne-t-il, « nous avons besoin d’être soutenus par les collectivités. Nous avons besoin de moyens de mobilité, de moyens humains et matériels pour organiser beaucoup plus de séances de sensibilisation ».
Les subventions de l’Etat aux collectivités locales sont constituées des ressources recouvrées et rétrocédées par l’Etat à leur profit.
(AIP)
Ti/aaa/Ask
« Il y a eu une nette amélioration des recettes en 2013 par rapport à 2012, mais il nous faut axer nos efforts sur la sensibilisation des populations pour faire mieux en 2014 », a déclaré M. Traoré, qui n’a pas donné de chiffre sur les recettes recouvrées, indiquant toutefois « un bilan positif qui aurait pu être plus reluisant si les populations dans leur majorité ne manquaient pas de culture fiscale ».
« Au niveau des personnes morales, il n’y a pas de problème majeur. Ce sont plutôt les particuliers qui nous font des difficultés malgré les nombreuses séances de sensibilisation dans les lieux de culte, sur les antennes de la radio de proximité et les conférences publiques au centre polyvalent », a-t-il expliqué.
Traoré Ibrahim dit vouloir continuer la sensibilisation, mais souligne-t-il, « nous avons besoin d’être soutenus par les collectivités. Nous avons besoin de moyens de mobilité, de moyens humains et matériels pour organiser beaucoup plus de séances de sensibilisation ».
Les subventions de l’Etat aux collectivités locales sont constituées des ressources recouvrées et rétrocédées par l’Etat à leur profit.
(AIP)
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