Comment devenir plus efficaces dans l’exercice de leur fonction. Tel est l’objectif de la campagne de sensibilisation lancée ces dernières semaines à l’intention des contrôleurs financiers et des contrôleurs budgétaires et organisée par la Direction générale du budget et des finances. Hier, lors d’un point de presse, à la Cité financière, Seydou Traoré, Directeur général du Budget et des Finances a expliqué que ces différentes entités ont décidé d’accompagner les efforts du Gouvernement dans sa quête permanente d’une meilleure utilisation des ressources de l’Etat en faveur du bien-être des populations.
Aussi, le DGBF a-t-il annoncé que trois rencontres, dont deux à Abidjan et une à Yamoussoukro, ont eu lieu avec la participation des deux Directeurs généraux adjoints, l’Inspecteur auditeur général, le Directeur du contrôle financier, le Directeur du contrôle budgétaire et le Directeur de la Formation, de la documentation et de la communication. La première qui s’est tenue le 23 décembre dernier, au 20ème étage de l’immeuble de la Tour F de la cité financière concernait les 32 contrôleurs financiers d’Abidjan et banlieue. La seconde a eu lieu jeudi dernier à la Rotonde de la Cité financière à Abidjan avec les 85 contrôleurs budgétaires auprès des Etablissements publics nationaux (Epn). Quant à la troisième rencontre, elle a eu pour cadre l’hôtel président de Yamoussoukro avec 19 contrôleurs financiers exerçant en régions. Il s’est agi de relever les faiblesses et faire des recommandations. Neuf points ont été arrêtés pour amener les contrôleurs à faire preuve d’une plus grande responsabilité. A savoir : Se référer systématiquement aux textes en vigueur (maîtriser les textes régissant la fonction du contrôle que sont entre autres, loi, arrêtés et instructions) ; privilégier le rôle de conseiller et faire preuve de courtoisie ; faire preuve de probité, d’intégrité et de dignité dans le cadre de la mission de contrôle ; respecter les délais de traitement des dossiers. A ce sujet, le contrôleur dispose de huit jours maximum pour viser la dépense. Pour ce faire, il doit faire preuve de diligence afin que les dossiers soient traités avec célérité. En outre, le contrôleur doit faire preuve de rigueur dans le cadre de la mission de contrôle ; se rendre disponible pour ne pas bloquer la chaîne. C’est-à-dire que le contrôle a priori étant une activité continue, il exige du contrôleur, de la disponibilité, tant au niveau de la régularité de la dépense que de l’effectivité du service fait. Mieux, le contrôleur doit se référer à la hiérarchie (rendre compte, évoquer les difficultés constatées dans l’exercice de ses fonctions). Les deux derniers points sont relatifs au renforcement de l’encadrement et du suivi et à la production obligatoire de rapports d’activités. En tout cas, la Direction générale du Budget et des Finances qui a également diagnostiqué les faiblesses (difficultés du Sigfip à fonctionner convenablement du fait des problèmes d’électricité, absence de moyens de locomotion, etc.) entend prendre les dispositions pour que l’émergence de la Côte d’Ivoire, à l’horizon 2020, passe par sa structure.
JEA
Aussi, le DGBF a-t-il annoncé que trois rencontres, dont deux à Abidjan et une à Yamoussoukro, ont eu lieu avec la participation des deux Directeurs généraux adjoints, l’Inspecteur auditeur général, le Directeur du contrôle financier, le Directeur du contrôle budgétaire et le Directeur de la Formation, de la documentation et de la communication. La première qui s’est tenue le 23 décembre dernier, au 20ème étage de l’immeuble de la Tour F de la cité financière concernait les 32 contrôleurs financiers d’Abidjan et banlieue. La seconde a eu lieu jeudi dernier à la Rotonde de la Cité financière à Abidjan avec les 85 contrôleurs budgétaires auprès des Etablissements publics nationaux (Epn). Quant à la troisième rencontre, elle a eu pour cadre l’hôtel président de Yamoussoukro avec 19 contrôleurs financiers exerçant en régions. Il s’est agi de relever les faiblesses et faire des recommandations. Neuf points ont été arrêtés pour amener les contrôleurs à faire preuve d’une plus grande responsabilité. A savoir : Se référer systématiquement aux textes en vigueur (maîtriser les textes régissant la fonction du contrôle que sont entre autres, loi, arrêtés et instructions) ; privilégier le rôle de conseiller et faire preuve de courtoisie ; faire preuve de probité, d’intégrité et de dignité dans le cadre de la mission de contrôle ; respecter les délais de traitement des dossiers. A ce sujet, le contrôleur dispose de huit jours maximum pour viser la dépense. Pour ce faire, il doit faire preuve de diligence afin que les dossiers soient traités avec célérité. En outre, le contrôleur doit faire preuve de rigueur dans le cadre de la mission de contrôle ; se rendre disponible pour ne pas bloquer la chaîne. C’est-à-dire que le contrôle a priori étant une activité continue, il exige du contrôleur, de la disponibilité, tant au niveau de la régularité de la dépense que de l’effectivité du service fait. Mieux, le contrôleur doit se référer à la hiérarchie (rendre compte, évoquer les difficultés constatées dans l’exercice de ses fonctions). Les deux derniers points sont relatifs au renforcement de l’encadrement et du suivi et à la production obligatoire de rapports d’activités. En tout cas, la Direction générale du Budget et des Finances qui a également diagnostiqué les faiblesses (difficultés du Sigfip à fonctionner convenablement du fait des problèmes d’électricité, absence de moyens de locomotion, etc.) entend prendre les dispositions pour que l’émergence de la Côte d’Ivoire, à l’horizon 2020, passe par sa structure.
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